La sorcière Althéa (1)
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
Hétéro
... préfèrerais vraiment rester seul dans cet endroit froid, puant, et inconfortable, que de passer une nuit de plaisir avec moi ? Mon esprit était prêt à souffrir sur un chevalet, mais pas à ça. C’est une forme de torture, plus vicieuse que tout ce que je m’étais imaginé. Elle doit cacher quelque chose, elle ne doit pas m’offrir son corps simplement parce qu’elle a envie de sentir la chaleur d’un homme dans son lit. Elle veut quelque chose de moi, c’est obligé, je dois rester fort, mais ai-je vraiment le choix ? — Que m’arriverait-il si je refuse ? l’interrogé-je. — Rien de mal, je te le promets, mais te montrer coopératif permettrait de nettement améliorer tes conditions de vie. Je ne sais pas quoi faire, je réfléchis. Dans un sens, oui, clairement, c’est ma fierté plus que mon manque d’envie qui me bloque. Je veux lui résister, ne pas lui donner ce qu’elle veut, sauf que m’engager dans cette voie me ferait autant que mal autant qu’à elle, alors est-ce vraiment nécessaire ? Qu’est-ce que j’ai à perdre ? En réalité, à priori pas grand-chose. Je vais sans doute finir par mourir ici, seul et oublié de tous. Quitte à crever, pourquoi ne pas se faire un peu plaisir avant ? Même si cela veut dire coucher avec le diable. Je finis par me résoudre, j’essaie de me convaincre que c’est parce que c’est la solution la plus logique pour garantir ma propre survie, mais je me voile la face : j’en ai envie. J’ai néanmoins toujours peur de trahir la mémoire de mes camarades. — Que veux-tu que je ...
... fasse ? lui demandé-je. — Viens, commence par me lécher la chatte. Je m’agenouille devant son lit et m’introduis entre ses cuisses. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de son vagin. Il est beau, rasé. Je lui donne en premier coup de langue, elle réagit, je lui en donne d’autre en jouant avec ses lèvres. — Oui, vas-y. Broute-moi. Je la sens excitée. Sans doute autant parce qu’elle est en manque que parce qu’elle a du pouvoir sur moi. Elle ne tarde pas à mouiller, je joue avec son clitoris quand il devient gonflé. Putain, ce que je deviens dur, son jus me fait tourner la tête. Je vais le faire, je vais vraiment le faire. J’ai envie de cette chatte et de la saillir, peu importe à qui elle appartient. Quoiqu’il arrive, je pourrais au moins me vanter d’avoir profité d’elle, même si au fond, c’est plutôt elle qui va profiter de moi. — Tu vois quand tu veux, tu te débrouilles bien, me dit-elle en me tirant par les cheveux pour me forcer contre elle. Je m’applique à la tâche comme un esclave dévoué. Je la doigte, je la lèche, je la fais gémir, jusqu’à ce qu’elle m’ordonne : — Déshabille-toi. Montre-moi ce que tu as dans le pantalon. Je me redresse et enlève mes vêtements. J’ai honte de lui montrer ma verge déjà dressée lorsque je me débarrasse de mon caleçon ; c’est une preuve de faiblesse. Elle affiche un sourire satisfait en constatant l’effet qu’elle me fait. — Hmm, tu es d’une belle taille, me complimente-t-elle. Viens, rejoins-moi. Elle me fait m’installer contre la ...