La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1138)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... droite est encore dans la pièce, Monsieur. - Qui donc ? - Je ne sais pas qui elle est Monsieur, mais elle était présente avant notre arrivée, et a observé l’ensemble de ce début de soirée sans bouger. - Qu’est-ce qui te fais dire cela ? - Parce que les autres intervenants se sont toujours assurés de ne pas lui cacher la vue lorsqu’ils ont profité de moi, cela aurait pu être une caméra, mais le fait que vous ne démentissiez pas mes dires, et que vous semblez étonné que je sois au courant de sa présence, me laisse penser que j’ai vu juste. - J’ai cru un instant que le bandeau n’était pas assez occultant, répond Le Commandant en souriant. En effet, le propriétaire du magasin a observé toute la scène, et je vais me retirer et te laisser avec Lui, il connait nos règles, ne t’inquiète pas. Sans un mot de plus Laurent quitte la pièce, Keira MDE entend la porte se fermer, puis un long silence suit. Elle patiente le bon vouloir de cet homme qui l’observe en silence, puis il se lève et dès le son du premier pas, elle le reconnait et, sourit. Il arrive à sa hauteur, voit son sourire et se penche au creux de son oreille pour lui murmurer. - Pourquoi ce sourire, soumise. - Parce que je suis heureuse d’être à Vos pieds Maître, répond la jeune femme qui a reconnu Le Châtelain. - Comment as-tu su que c’était moi ? - Le son de vos pas Maître, peu de personnes possèdent des chaussures de cette manufacture. - Tu ...
... reconnais les types de chaussures au son des pas ? - Non Maître, je reconnais Vos pas, au rythme posé, et seulement le Votre, qui est pour moi signe d’un grand plaisir. - Quel plaisir ? - Celui de Vous servir Maître. Le Noble sourit, Il la regarde un instant sans rien dire, profite de la vue de ce corps qui lui est offert, impudique, dans une parfaite position. - Hum…que penses-tu de cette journée ? - Je n’ai pas été à la hauteur de votre éducation Maître, je Vous présente mes excuses, et Vous prie de bien vouloir me sanctionner, dit-elle sereine. - En quoi as-tu faillit ? - Dans les tâches ménagères Maître. - Et ton erreur n’a-t-elle pas été sanctionnée ? - Si Maître. - Penses-tu que cette sanction était trop faible. - Je n’ai pas à juger des décisions de Vos serviteurs, lorsqu’ils agissent en Votre nom, Maître. - Je te le demande ! ordonne-t-Il d’un ton laissant comprendre qu’Il attend une réponse. - Je pense que cette sanction était juste. - Donc pourquoi me réclamer une autre sanction ?, questionne-t-Il en frappant avec force le fessier de la jeune femme, d’une cravache laissée là. - L’habitude Maître, répond-t-elle dans un souffle. Monsieur Le Marquis sourit, Il repose l’objet, puis caresse avec sensualité le dos de la jeune femme, sa main posée sur sa nuque descend le long de sa colonne, avant de flatter sa croupe. Elle sent comme un courant électrique traverser tout son être... (A suivre …)