Passion Innocente ( chapitre 2)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... me matais au rugby ? Je dois dire que toi aussi, tu ne me laisses pas indifférent. Tu me fais bander avec ton petit cul et ta gueule d’ange, je ne vais plus tenir si tu te déhanches ainsi devant moi. J’étais rouge, sa main sur mes reins qui descendait sur mes fesses empirait mon embarras et mon excitation. Je sentais ma queue grossir dans l’espace restreint de mon slim. Gabriel avait rapproché son corps, nous étions collés, torse contre torse, et je pouvais sentir son bas-ventre. J’étais au comble de l’excitation, ma respiration avait accéléré et j’étais piégé dans la puissante étreinte du beau roux. Gabriel R. - Ne cherche pas à fuir, tu es à moi pour la nuit. Il avait retrouvé ce sourire arrogant que je détestais, puis ses lèvres s’approchaient jusqu’à atteindre les miennes. Le contact de nos lèvres me fit un électrochoc, je ne pouvais résister à ce plaisir immense qui m’envahissait. C’était un baiser langoureux, nos langues étaient en symbiose complète, il malaxait mes fesses par la même occasion. Notre contact a malheureusement dû prendre fin, lorsqu'il retira ses lèvres. Il me prit la main, et nous sortîmes de la piste. J’essayais de me remettre, mais tout mon être était en ébullition, je bandais comme un taureau, et mes fesses me brûlaient de son contact qui avait disparu. Il me lâcha pour aller voir Andrew qui lui fit passer un trousseau de clés. Puis il m’emmena vers sa voiture noire, où il me posa sur le capot en m’embrassant de nouveau. Gabriel R. - Tu crois que ...
... tu peux tenir jusque chez-moi. Il me regardait, fier de son emprise, je ne pouvais que hocher la tête comme réponse. Nous nous installâmes sur les sièges en cuir, la voiture était spacieuse. En route chez lui, je venais de remarquer l’énorme bosse de son slim blanc accompagné d’une tâche, il devait sûrement mouiller par l’excitation, et je pouvais parler, j’étais dans le même cas le sien. Nous étions arrivés dans un état de rut après une dizaine de minutes de route, nous nous désirions tous les deux. On était rentré comme des sauvages dans son appartement, collé par nos lèvres, nos caresses. Il m’avait posé sur une grande table, commença de petits baisés dans le cou, pour ensuite mordiller mon oreille, pour finir par me mordre langoureusement ma lèvre inférieure. Nos respirations étaient saccadées. Il finit par retirer son magnifique pull bordeaux, laissant place à son imposante musculature, des abdominaux dessinés encore plus secs que les miens, des pectoraux développés, et l’immense V de ses abdominaux visaient son énorme paquet, qui déformait son slim blanc. J’avais, moi aussi, retiré mon haut blanc laissant apparaître mon torse musclé, plus sec, mais moins massique que lui. Gabriel R. - Ouah… tu es aussi bien gaulé que je l’avais imaginé sous tes jolis vêtements. Moi - Je peux te retourner le compliment. Gabriel commença par me lécher goulûment les tétons, qui finit par m’arracher des couinements, dont je ne me savais pas capable. Je pouvais sentir sa langue descendre sur ...