L'amour doit ressembler à cela
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
... Là-bas, une veuve, pour le mari de laquelle j’avais travaillé enfant, a bien voulu nous loger et nous nourrir contre de l’aide dans les affaires de son auberge. Zerbinette et moi avons eu vite fait de remettre un peu d’ordre et de propreté dans la bâtisse et au bout de quelques semaines, les clients revenaient. Nous nous sommes mariés. Tous les soirs, Zerbinette écrivait ce qui était maintenant « notre » vie. En plus de l’auberge, je rendais de menus services au couvent qui m’avait recueilli lorsque j’étais devenu orphelin. La mère supérieure me choyait comme son fils. Je lui avais raconté mes mésaventures en omettant certains détails et lorsque mon enfant abandonné lui fut confié, elle fit venir Zerbinette quelques jours aux hospices et nota elle-même dans le registre de la paroisse la naissance de ce fils « légitime ». Voilà l’histoire. Des années après nous tenons toujours l’auberge et nous avons donné quatre frères et sœurs à « notre » premier enfant. Zerbinette a sans doute raconté cette histoire beaucoup mieux et avec beaucoup plus de détails dans ses carnets. Je n’ai jamais plus touché une autre femme et je m’étonne encore de la façon dont Zerbinette me regarde. Après toutes ces années, son corps est devenu plus lourd, mais, lorsqu’elle dort, un sein s’échappe encore de sa chemise et palpite au rythme de sa respiration. J’ai toujours autant d’émotion à ...
... la regarder. Un soir Zerbinette est venue se coucher contre moi, elle portait un cahier défraîchi. Elle a approché la chandelle et m’a dit : — Je vais te lire des extraits d’un vieux carnet que je viens de retrouver. C’était la première fois qu’elle acceptait de me lire ce que depuis des années elle notait chaque jour pour elle-même. — Je t’écoute, mon amour. Elle commença d’une voix douce et posée : En lisant, Zerbinette avait pris ma pique en main et la branlait doucement. Elle se tourna, grimpa sur moi et m’enfonça en elle. Puis, en me chevauchant lentement, elle reprit sa lecture. — Ce matin au réveil, monsieur Pierre était à mes côtés, je n’y croyais pas, il était revenu ! Je l’aime ! Je l’aime ! Et elle posa le cahier et murmura « je t’aime » en posant ses lèvres sur ma bouche. C’est là qu’est venue en moi l’envie de raconter pour Zerbinette comment est né mon amour pour elle. _______________________________ P.S. : Fidèle lecteur, j’ai composé le roman de Quentin et Zerbinette pour te faire partager quelques-uns des sonnets glanés par Valentin Conrart. Si tu en veux davantage, va en enfer consulter« Sonnets gaillards et priapiques » extraits des manuscrits de Conrart (Bibliothèque de l’Arsenal), publiés pour la première fois avec un avant-propos par un bibliophile inconnu, sur le très superbe site de la Bibliothèque nationale de France : gallica.bnf.fr.