1. Mon copain, son beau-père et moi (2)


    Datte: 16/05/2019, Catégories: Hétéro

    Je comprends sa position, lui dis par la même occasion que je suis une grande fille et que je sais ce que je fais. Je me blottis une nouvelle fois dans le creux de son épaule. Il pose sa main sur ma taille puis me fait des papouilles d’une douceur extrême. Des frissons parcourent mon corps. Il monte et descend avec ses doigts sur mon flanc, puis d’un geste que je qualifierais d’audacieux, il finit par saisir mon sein droit dans la paume de sa main. Avec son index, il titille mon téton qui ne tarde pas à se dresser, puis me malaxe la poitrine avec attention. Malicieusement, j’essaye d’atteindre sa verge, je sens une bosse à travers le tissu de son short que je masse lentement. La glace est brisée, je n’en pouvais plus, entre le refus de Roberto, et la situation complexe de ma douche nocturne, mes sens étaient complètement déboussolés. A présent, j’ai mis ma main dans son caleçon, et m’aperçois qu’il a un sexe assez gros. Je le masturbe, Antonio fait de même avec moi puisque ses doigts parcourent le sillon de ma vulve. Il joue aussi avec mon clitoris, ce qui fait partir ma tête en arrière de plaisir. Il change de position, s’assoit face à moi, écarte la ficelle de mon sous-vêtement et commence à me lécher. Sa langue entre dans mon puits d’amour, puis rapidement, son index et son majeur viennent fouiller mon vagin. Je me mords les lèvres afin d’atténuer mes grognements. D’ailleurs, ici, sur la terrasse du mobil-home, exposé à un éventuel voyeur, mon premier orgasme arrive à ...
    ... une vitesse éclair. Il baisse son short, son caleçon, puis saisit ma main afin que je le masturbe. Rapidement, je me penche un peu puis le prends en bouche. Je titille son gland avec le bout de ma langue, puis je l’avale complètement. Je fais des mouvements de diverses intensités. Il pose ses mains sur mes épaules, me remet contre le dossier de la chaise, soulève mes jambes, écarte de nouveau l’élastique de mon string puis présente sa verge à l’entrée de mon abricot juteux et totalement épilé. Il se frotte quelques secondes, puis me pénètre. Un cri s’échappe de ma bouche, puis je mords mes lèvres afin d’être le plus discret possible. Il me prend à présent avec un peu plus de vigueur, son gland butte contre mon col de l’utérus, puis nous changeons de position. Il me met à genou sur une chaise longue de jardin, et me prend en levrette. Mes fesses claquent contre le bas de son ventre, je prends un plaisir énorme, j’ai l’impression qu’il me possède entièrement. Au bout de quelques minutes, je sens que son membre grossir et exploser en moi. Par la même occasion, je jouis aussi. Mon souffle est saccadé, et lui aussi. Nous nous faisons une dernière accolade, puis nous allons nous coucher dans nos lits respectifs. Durant la nuit, je ne cesse de repenser à cet échange corporel, j’en ai la vulve qui mouille encore d’envie. Mais je me dois de rester sage, ce dérapage doit être le dernier. C’est la première fois que j’agis ainsi, est-ce qu’inconsciemment, je voulais remercier Antonio à ma ...
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