Femme BCBG, escorte, non, pute… (44)
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
J’ai quitté Fabienne qui dort sur la terrasse après ce que l’on peut appeler un exploit en moins d’une heure de draguer un homme en ville et de l’amener près de nous pour se donner à lui afin de respecter la punition que nous lui avons infligée. Quoiqu’elle ait dit avoir compris qu’elle devait être à l’écoute de Christian, son mari et éviter de lui rendre la vie impossible, nous avons appliqué la sentence. Au matin comme j’ai pris l’habitude de le faire, je fais le tour des chambres afin de voir qui ont pris du plaisir avec qui, surtout pour que la bande reste souder. Au premier tous va bien, seule Madeleine manque à l’appel. Aucune Madeleine au milieu de tous ces couples. L’ont-ils abandonnée ? Je monte jusqu'à sa chambre. Elle est là, assise sur son lit, un livre posé à ses côtés. Le sexe en ébène sort de sa chatte. Elle vient de jouir, car ses yeux sont encore embués après le plaisir que la bite lui a donné. Je me couche à ses côtés. • Tu sais quand je suis parti de Paris, Noiraud à sauter dans ma valise en sortant seul de son tiroir. Quand je suis seule et que je lis des scènes osées dans des livres, il vient me tenir compagnie. Virginie possède des dizaines de godes, mais je suis fidèle à mon noiraud, il est le seul et il sera le seul à défoncer mon vagin. Un jour dans la bibliothèque de Virginie, j’ai trouvé sur la dernière étagère en haut un livre d’allure anodine qui avait pour titre « Les Onze Mille Verges » de Guillaume Apollinaire. Dans l’histoire, il raconte ...
... les péripéties à travers l’Europe d’un prince roumain qui sont ponctuées de scènes notablement crues, où toutes les facettes de la sexualité sont exploitées par Apollinaire, le sadisme, le masochisme, la pédophilie, l’onanisme et toutes autres formes de dépravation où Apollinaire semble se complaire. Certains passages sont si crus que ma minette est trempée. • Tu as bien raison de te faire jouir à la lecture de ces scènes très explicites. J’ai lu ses livres dans ma jeunesse, mais j’ai été élevé dans le respect de mon corps et il m’aurait été impossible de me caresser comme tu le fais. Grâce à marraine, je me suis bien rattrapé depuis. • Vous aviez laissé noiraud un matin sur la table du salon près du canapé où je lisais. J’ai essayé de résister pour finir par céder la scène que je lisais étais très excitante. Je l’ai saisi et présenté à ma vulve, étant seule je me rappelle avoir dit à mon ami noir. • Tu en veux. • Il a dû répondre par un oui car quelques secondes après, il était planté presque entièrement dans mon vagin. Je l’ai fait aller et venir deux ou trois fois dans ma chatte et des jets de cyprine ont jailli, arrosant le canapé. J’étais paniqué. J’ai mis plus d’une heure pour le nettoyer ainsi que le tapis qui en avait reçu. Chaque fois que je m’introduis noiraud, il me fait sortir ces jets du con. J’ai été obligé de m’organiser, j’ai acheté une alèse que j’ai coupée et que je mets avant de me l’introduire. Tu vois ce matin, il m’a rendu visite et je l’ai mise. Regarde ...