1. Daniella et Leila


    Datte: 16/05/2019, Catégories: hhh, poilu(e)s, Transexuels Oral 69, hdanus, hsodo, Gay

    Quand les deuxshemales sont venues emménager dans notre immeuble, cela a pas mal jasé dans les couloirs, pas trop les premiers temps parce que pas mal de résidents pensaient sans doute qu’il s’agissait de filles ; mais, une fois la réalité établie, les rumeurs y sont allées bon train. Pour ma part, très curieux de nature, éclectique et bisexuel, je suis attiré par les différences, pourtant je n’avais encore jamais fréquenté de t-girl. Aussi, dès que j’ai pu croiser les filles dans les couloirs, je me suis présenté à elles et ai de suite cherché à sympathiser. Leila, encore très jeune, était d’origine maghrébine, très typée et teinte en rousse, elle avait un visage d’ange mais un regard un peu tristounet. Daniella, plus âgée, était brune, grassouillette, très potelée, avec une longue tignasse frisottante dégoulinant en cascade sur ses épaules. Toujours très maquillées et vêtues avec beaucoup de goût, lorsqu’on les croisait dans la rue, on n’avait pas l’impression qu’il s’agissait de mecs. Il faut dire qu’elles donnaient bien le change avec les jolies poitrines rebondies qu’elles savaient bien mettre en valeur. Par contre, une fois que l’on savait qu’il s’agissait de trans, on remarquait alors les quelques petits détails qui dévoilaient leur vraie nature ; leur façon de vous regarder par exemple, la courbure de leurs visages ou même quelques gestes un peu trop maniérés, quelques petits riens qui faisaient que ce n’étaient pas tout à fait des femmes, et que l’on imaginait alors ...
    ... ce qui pouvait se trouver dans leurs culottes. Ensuite, ça intriguait, ça excitait, ça faisait fuir ou ça choquait : tout dépendait de votre ouverture d’esprit. En ce qui me concerne, cela me faisait réellement bander. Deux mois environ après leur arrivée, elles m’ont invité à dîner. Elles voulaient me remercier parce que je les avais aidées à monter les quelques affaires qu’elles avaient ramenées avec leur propre voiture, divers bibelots assez fragiles qu’elles n’avaient pas voulu laisser entre les pattes des déménageurs. À cette occasion, elles m’avaient fait visiter leur appartement, clair et spacieux et j’avais pu entrevoir leur garde-robe, car elles étaient en train d’aménager un dressing dans une des chambres d’amis. C’était un vrai petit nid d’amour, un appart de nanas ; elles étaient raffinées et avaient beaucoup de goût. Daniella m’expliqua qu’elle travaillait dans une galerie d’art, d’où son penchant pour la peinture moderne. Il y avait d’ailleurs trois très belles toiles dans le grand living. Leila, de son côté, était beaucoup plus réservée, presque timide, mais son regard un peu perdu m’a tout de suite donné envie de la cajoler, elle m’inspirait beaucoup de tendresse et je comprenais pourquoi Daniella était sans cesse aux petits soins pour elle. Le jour du dîner arriva vite. En plus de l’inévitable bouteille de champagne, j’avais amené un énorme bouquet pour Leila et un ouvrage d’art pour sa copine : — Eh bien ma chérie, tu es gâtée, annonça celle-ci en me jetant ...
«1234...»