1. Albert fait une pause avec ses collègues routiers, suite


    Datte: 22/06/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... excité que moi je lui dit que j’ai envie de son sperme et qu’il me jouisse dans la bouche. Il fait encore quelques mouvements dans mes entrailles, se retire et enlève le plastique qui compresse son beau sexe. Je me retourne et gobe immédiatement sa bite. Je n’ai pas le temps de toucher ses couilles qu’il se place sur le coté en soulevant une jambe et me met dans la même position que lui. Nous nous suçons mutuellement, je lui caresse les couilles et les fesses alors que lui me doigte profondément jusqu’à me titiller la prostate. J’aime tellement ce qu’il me fait et je n’ai pas le temps de le prévenir que je me vide de 4 bonnes giclées dans sa bouche. Il continue de me sucer pour récupérer les dernières gouttes de sperme alors qu’à son tour il se répand dans ma bouche. Je garde la bouche pleine et continue de le sucer pour tout récupérer alors que lui a toujours ma queue en bouche bien qu’elle soit ramollie. Nous nous écartons l’un de l’autre pour nous rouler des pelles au sperme avant d’avaler goulument le mélange de nos deux jus. Complètement lessivé par nos journées et surtout notre soirée nous nous endormons dans les bras de l’autre dans sa couchette. Le lendemain je me suis ...
    ... réveillé le premier comme nous étions toujours entièrement nu je me glisse entre ses jambes et commence à le sucer. Il se réveille doucement et une fois que sa queue est raide je l’enferme dans une capote et je m’assoies sur lui. Je me défonce moins même le cul avec le sexe de Jerome alors que lui me branle. Au bout de 10 minutes il me dit qu’il va jouir alors je me soulève doucement pour le faire sortir de mes entrailles. Je colle sa queue à la mienne et je nous masturbe à deux mains. Il jouit le premier et lorsque ses veines se contractent contre mon sexe je joui à mon tour. D’une main j’étale nos spermes sur mon ventre et mon sexe et avec ma bouche je nettoies sa queue avant de lui rouler une pelle qui à le gout de nos jus. A son tour il veut me nettoyer la bite mais je ne lui demande de rien faire pour profiter toute la journée de nos odeurs. Je me suis rhabillé avant que nous allions prendre ensemble un café et que chacun reprenne sa route. Comme il faisait chaud j’ai profité toute la journée de nos odeurs dans la cabine et le soir avant de me doucher je me suis branlé avec l’ivresse de nos odeurs et en pensant à notre nuit. Malheureusement ma route n’a jamais recroisé celle de Jerome. 
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