1. COLLECTION TABOU. Les Mimosas (5/7)


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Je viens d’échapper à ma bru qui voulait une nouvelle fois se faire baiser, il s’en est fallu de peu que mon fils Kevin, la surprenne à poils chez moi, je viens de rejoindre Blandine, ma rousse voisine au bord de sa piscine en franchissant la haie de cyprès par le trou derrière mon chalet. Elle est là toujours plus belle dans sa nudité, après l’avoir embrassé, je plonge dans la piscine, elle vient de me donner le choix, repas de crudités ou bain. Quitte à ne rien manger de consistants, je choisis le bain, lui lançant un défi. • Gagné, je suis le premier. C’était facile, je n’ai aucun mérite, j’ai juste enlevé mon maillot, elle arrive vers moi et s’accroche à mon cou. Nos corps se collent et je sens que ma raideur revient, à ce rythme, je risque une autre raideur, mais définitive celle-là et dire que j’espérais avoir une retraite transquille. Question retraite, côté travaille mes écrits ne sont pas trop fatigants, mais côté sexe, il n’en va pas de même, ma maîtresse folle du cul qui se faisait sauter par d’autres que moi s’étant fait choper par son mari, je pensais être tranquille. Bien sûr, malgré mon âge, un petit coup de temps en temps n’aurait pas été pour me déplaire, mais bander du matin au soir, même pour des chattes différentes, la fatigue risque de me gagner. À ce rythme, en attendant ma mort prochaine, grâce à l’eau qui m’aide à la soutenir, Blandine s’empale sur ma turgescence m’entourant ses bras autour du cou et ses jambes de ma taille. Quelle belle mort, je vais ...
    ... avoir, on pourra lire sur mon épitaphe « ici gît, Chris le retraité mort en tirant un coup. » J’échappe à cette mort pour ce coup-ci quand je l’entends râler son plaisir. Ma situation est différente quand je perds pied et que nous nous trouvons entraîner vers le fond de la piscine, c'est par noyade, ce qui est moins glorieux qu’après avoir bu une grande gorgé d’eau, je suis à deux doigts de trépasser. Retrouvant la terre ferme, du moins les transats, ce que je n’avais pas vu, c’est sur le côté de la desserte, la bouteille de rosée de Provence mise dans sa chaussette réfrigérante. Ces divins, j’adore le rosé, comme j’aime me promener dans ces immenses champs de vignes, du moins du temps où je faisais de la voiture. Je mange des pousses de bambou, du fenouil, des quartiers de tomate, des olives du pays, la fraîcheur commençant à tomber, ce qui est normal dans cette fin de printemps et la fin des mimosas, du moins les petites boules jaunes qui pullulent devant nos yeux, nous prenons un repos salvateur dans son lit. • J’ignore ce que tu fais pendant tes journées, mais hier, dès que tu as été couché, tu as été aux abonnés absents, mais si tu veux dormir, j’aurais mauvaise grâce à te le reprocher, les dimanches, j’ouvre rarement les yeux avant midi. Je pars travailler, j’ai un client à 10 heures, je t’ai mis le code du portillon sur la table de cuisine, bien que tu n’en aies pas besoin, grâce à ce trou dans notre haie. • Bonne journée, à demain. • Demain, tu vas déjà me tromper dès ...
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