1. Mon pauvre Bernard


    Datte: 17/05/2019, Catégories: jeunes, extracon, Inceste / Tabou copains, plage, campagne, jardin, fête, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, confession,

    ... aux toilettes et nous sommes sortis dans le parc. C’était l’été, je ne portais qu’une courte jupe qu’il s’empressa de soulever, me faisant prendre appui des deux mains sur le capot de ta voiture. Il arracha littéralement ma culotte et me pénétra d’un coup. Il n’eut aucun mal car il m’avait bien préparée avec cette danse torride. J’ai joui comme une folle quand j’ai senti son gros machin me remplir. En moins d’une minute, lui et moi avions pris notre pied. Il me tendit un Kleenex, le sida n’existait pas à l’époque. Et nous sommes revenus danser. *** Et ton cousin Francis ? Tu m’as bien dit un jour, mais sans l’ombre d’une inquiétude, qu’il était bien souvent chez nous quand tu n’étais pas là. Il venait en effet souvent, au début avec le prétexte de te voir. Mais je savais bien qu’il savait que tu étais absent. Et puis, sans qu’il soit question de toi, il venait, pour moi, mais je ne le savais pas encore. Au début, il n’osait pas trop, ne sachant pas comment j’allais réagir. Mais je sentais ses regards se faufiler. Un jour où je faisais les carreaux, il m’aida à accéder à la fenêtre de l’escalier, celle où je ne peux aller sans aide. J’étais évidemment en jupe, sans penser qu’il allait me voir par dessous. Ceci ne parut pas lui déplaire et, même lorsque je fus stabilisée sur le bord de la fenêtre, il ne me quitta pas des yeux. — J’attends pour t’aider à redescendre prétexta-t-il. Je savais qu’il n’en perdait pas une miette et que ses yeux étaient rivés sur ma petite culotte. ...
    ... — Si j’avais su ça, je n’en aurais pas mise pensai-je. Je laissai tomber mon torchon et me retournai pour qu’il me le fasse passer. Lui faisant face, je m’accroupis pour l’attraper, écartant franchement les genoux. Sa main tendait vers ma main mais ses yeux ne quittaient pas ma culotte et si je ne lui avais pas dit : — Hou, hou, Francis, réveille-toi ! Il serait encore dans l’escalier, hypnotisé par ce qu’il voyait. Je t’avouerais que je ne pensais même pas à me relever tant son regard me fascinait. J’adorais qu’il me regarde. Les carreaux enfin terminés, il fallut redescendre. — Assied-toi sur le bord, me dit-il, et je t’attraperai. Assise, son visage se trouvait au niveau de mes genoux. — Avance-toi, me dit-il. Pour ce faire, je dus écarter les jambes, lui présentant de près ce qu’il avait regardé de plus loin. Lorsque mes fesses furent au bord de la planche, il posa ses mains à l’intérieur de mes genoux, les écarta et plongea son visage entre mes cuisses. — Je vais te bouffer, me dit-il. Et il me bouffa. D’abord à travers ma culotte rapidement ravagée, puis déchirée de ses dents. Et là ! Nous avons entendu ta voiture. Francis m’a rapidement descendue, ma jupe cachant mes lambeaux de culotte, j’ai couru à la cuisine et il t’a attendu au salon où vous avez tranquillement pris l’apéro. — Je te finirai bientôt, m’a-t-il glissé avant de partir. Et j’y comptais bien. Il m’avait tellement allumée, le salaud. Et je crois que ce jour-là, tu n’as pas bien compris que je te saute ...
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