Une grande professionnelle
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
médical,
vacances,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
sm,
confession,
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... semaine, elle travaillait de nuit. Huit heures du soir, huit heures du matin. Cela m’impressionnait. J’étais tellement admirative devant ce que ces filles pouvaient faire. — Douze heures d’affilée aux urgences ! Mais comment arrives-tu à tenir éveillée ? À ne pas faire d’erreur ? Je voulais tout savoir. Combien de patients verrait-elle ? Allait-elle en salle d’opération ? Prenait-elle même le temps de manger ? Si elle répondit avec enthousiasme à mes premières questions, cela ne dura pas et elle me refit rapidement le coup de la petite sauvageonne qui se renferme dans sa coquille. J’insistai, changeai de sujet, essayai l’humour… sans plus de réussite. En désespoir de cause, j’abattis mon va-tout et lui demandai, un brin provocatrice, si elle s’arrangeait toujours pour s’occuper des petites blondes aux yeux bleus qui ont le feu aux ovaires. Bingo ! Elle revint illico dans la conversation. — Toujours aussi curieuse mademoiselle Émilie, n’est-ce pas ? me murmura-t-elle d’un air taquin.— En effet, mademoiselle l’infirmière, répondis-je sur le même ton.— Parfait, puisque vous êtes d’humeur joueuse, nous allons pouvoir commencer.— Et vous me direz tout ensuite ? demandai-je, sans perdre de vue mon objectif.— Promis, mais une fois que la partie sera terminée. On y va ? Je fis « oui » de la tête. Elle remplit sa cuiller à café de salive et la présenta devant mes lèvres. — Avale, s’il te plait. J’obtempérai, sans rien dire. — Très bien, tu es vraiment une bonne fille, me dit-elle en ...
... me caressant les cheveux. Maintenant, je veux que tu retires ta culotte. Je ne m’attendais quand même pas à ça et restai immobile, sans savoir que dire. Alizée s’impatienta. — Je te croyais plus obéissante. Ouvre la bouche. Je desserrai les lèvres. — Plus grand, s’il te plaît. Je fis de mon mieux. Elle mit sa tête au-dessus de la mienne et laissa lentement tomber une longue gorgée de salive sur ma langue. Je me laissai faire. — Bien, maintenant lève-toi. Je me mis debout devant elle. — Donne-moi ta culotte, me demanda-t-elle de nouveau, en me regardant droit dans les yeux. J’essayais de rassembler mes esprits, ce qui, dans la situation présente, n’était pas une mince affaire. Tout se bousculait dans ma tête. Je me sentais terriblement gênée, beaucoup plus qu’à la clinique. Me déshabiller devant une infirmière ne posait pas de problème, me mettre les fesses à l’air pour satisfaire une copine un tantinet perverse était tout autre chose, même s’il s’agissait de la même personne. Et pourtant j’étais venue chez elle en connaissance de cause. Je ne pouvais pas prétendre qu’elle m’avait attirée dans un traquenard ou que j’ignorais ses intentions. Elle m’avait déjà souvent parlé de ses fantasmes de soumission et j’avais accepté son petit jeu avec la cuiller. En réalité, je ne savais pas ce que je voulais. C’était une sensation très étrange qui me rappelait la première fois où j’avais dit oui à un garçon. — Et si je n’ai pas envie ? lui demandai-je.— Il n’y a aucune obligation. À toi ...