1. Une grande professionnelle


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, ff, jeunes, médical, vacances, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation sm, confession, initff,

    ... au contact de la peau soient à l’extérieur et me l’enfonça dans la bouche. Je ne bronchai pas. Heureusement que je changeais de culotte chaque jour et que je n’avais pas choisi un modèle de grand-mère ce matin ! Je devais être chouette avec des joues de hamster. En plus, il me fallait respirer par le nez ! Alizée me regarda longuement avec un plaisir non dissimulé. — Allez, le chemisier maintenant. Je pris un air assuré, déboutonnai mon corsage et le posai sur le canapé. Comme l’autre soir, elle semblait hypnotisée par mon décolleté. — Mmm… je confirme, ce bleu assorti à tes yeux te va très bien. Et magnifique dentelle. Je fis de mon mieux pour acquiescer mais avec un slip dans la bouche, ce n’était pas facile. — Bien nous allons passer aux choses sérieuses maintenant, dit-elle. Et rends-moi ça, ce n’est pas là que ça se met ! Elle retira la culotte de ma bouche puis elle se rapprocha de mon oreille ce qui signifiait qu’une vacherie allait suivre ! — Dans quelques instants, tu seras toute nue devant moi. Aujourd’hui, il n’y aura personne pour ouvrir cette porte et te sauver. Tu comprends ? Elle faisait tout pour monter la pression. Je ne répondis pas. — Tu aurais dû m’écouter l’autre soir au lieu de faire ta maligne. Parce que là, ça va être bien pire ! Visite médicale complète. Et pas question de fermer les yeux et de penser à autre chose en attendant que ça se termine ! Non, non, examen devant le miroir, et je vais t’obliger à tout regarder. Rien que d’y penser ça met ...
    ... mal à l’aise, n’est-ce pas ? Sois honnête… J’admis que c’était troublant. — Troublant, c’est tout ? Moi à ta place, je serais morte de honte ! Mon cœur battait la chamade. Elle avait le don de m’exciter avec ses murmures lubriques. Elle déplaça la glace et la mit devant moi. Je ne pouvais maintenant plus ignorer le rouge qui empourprait mon visage. — Allez, nous allons commencer, Mademoiselle la petite rebelle… plus de douleur au ventre me dites-vous ?— Non, mademoiselle l’infirmière.— Bien… et la poitrine ? Pas de douleur non plus ?— Non, rien.— Il faut me dire toute la vérité, mademoiselle Émilie, les cachotteries sont interdites. Je suis votre infirmière.— Je ne vous cache rien, je vous assure !— Eh bien, nous allons voir cela, répondit-elle d’un air grave. Elle passa derrière moi, caressa mes épaules puis fit doucement glisser les bretelles de mon soutien-gorge sur mes bras. Je sentais ses doigts trembler. Pas étonnant, depuis le temps qu’elle attendait ça ! Elle descendit lentement ses deux mains dans mon soutien, prit mes seins par dessous et les sortit des bonnets. Dans le miroir, je les voyais, tout pâles sur ma peau bronzée, pointant vers l’avant, fièrement maintenus à l’horizontale par mon soutif. — Hum… que signifient ces jolis petits tétons tout rouges et tout raides ? Une érection incontrôlée ? Êtes-vous en état de stimulation sexuelle, mademoiselle Émilie ? Je vous rappelle que vous devez tout me dire avec franchise…— Non, mademoiselle l’infirmière. Ce doit être ...
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