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Les auto-stoppeurs Hollandais (1)
Datte: 19/05/2019, Catégories: Divers,
Nous roulions sur la E25 en direction de la France pour nous rendre à Fréjus et y passer nos vacances. C’était un jour d’été comme on les aime, chaud et ensoleillé sans être caniculaire. La température avoisinait les 27°, le ciel d’un bleu immaculé et l’autoroute pas trop encombrée. Bref, les vacances commençaient sous les meilleurs auspices. A peine arrivés au Luxembourg, comme tous bons belges qui se respectent, nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour faire le plein d’essence et prendre notre petit-déjeuner. Cela fait, nous avons rejoint notre voiture et, avant d’y monter car nous ne fumons pas à l’intérieur de l’habitacle, nous avons allumé (vilain défaut, je sais) une cigarette. Tandis que nous fumions, un couple de jeunes s’est approché de nous. Ils devaient avoir 19/20 ans au maximum et ne pouvaient cacher leurs origines Batave. Tous 2 étaient d’un blond lumineux, grands et les traits fins. La demoiselle portait une micro-jupe en jeans, un tee-shirt orange qui laissait deviner une poitrine nue en-dessous et des petites sandales à lacets montants sur ses chevilles. Lui était en short, tee-shirt et baskets. Tous 2 portaient un sac à dos relativement volumineux. Ils nous ont dit bonjour et nous ont demandé si nous allions vers le sud car ils se rendaient à Nîmes. Nous leur avons répondu affirmativement et ils ont demandé si nous pouvions les charger pour un bout de chemin. Eux parlaient et moi je ne pouvais détacher mon regard de la poitrine de la ...
... demoiselle. Ses seins n’étaient pas énormes (mais c’est ainsi que je les aime), mais ses bouts terriblement pointus me donnaient envie de les croquer. J’ai regardé ma femme qui m’a fait comprendre que cela ne posait aucun problème pour elle (dés l’âge de 16 ans elle partait chaque année dans les gorges du Verdon en auto-stop). J’ai acquiescé et nous avons chargé leurs sacs dans le break. Nous avons repris la route tous 4 et je dois reconnaître que ils étaient très sympathiques. Ils étaient de Breda, mais le garçon avait de la famille à Namur et parlait très bien le français. La demoiselle s’exprimait moins bien dans la langue de Molière, mais son accent et ses petites fautes de langage augmentait la sensualité qui se dégageait d’elle. A peu près 350 km plus loin, je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes. Nous en avons profité pour nous désaltérer et nous rincer un peu le visage à un robinet publique. Quand nous sommes remonté en voiture ma femme a pris place à l’arrière avec la demoiselle tandis que le jeune homme est venu à l’avant. Toutes 2 n’ont cessé de parler, on aurait dit 2 vieilles copines qui se retrouvaient après des années ! Arrivé à hauteur de Saint-Rambert d’Albon, je suis sorti de l’autoroute car nous allions passer la nuit dans un hôtel tout proche comme chaque année. Je me suis arrêté pour les déposer ainsi que leurs sacs et suis remonté en voiture. Ma femme continuait à parler avec la demoiselle (Héléna pour la jf et Harm pour le garçon) et tardait à reprendre ...