1. le conflit des générations (2)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prit mes bras et les leva au-dessus de ma tête. Ma cousine s’allongea sur moi et me lécha les seins avant de retourner vers ma chatte. Sa langue tourna autour de mon clito avant de descendre plus bas et me pénétrer. Je gémissais et me tortillais pendant que ma tante me tenait. Puis ma cousine ouvrit bien ma chatte, ma tante me lâcha et vient s’agenouillait à côté pour mieux voir, la langue de ma cousine dansait sur mon clito. Elle prit des photos. Je jouis en me tordant de plaisir. Ma tante me regarda en souriant. « Ton oncle n’a jamais su mais j’ai toujours eu ce côté voyeur. Maintenant que je suis seule quand ta cousine vient j’en profite. » « C’est étonnant comme tu es différente de maman » « Je sais. La nature est différente pour tout le monde. Moi j’ai toujours profité de la vie » Sa main caressait mes seins, mon ventre et elle titilla mon clito pour me faire jouir pendant que ma cousine se masturbait. On redescendit et on passa la soirée nues ma cousine et moi devant la télé. Ma tante, elle resta habiller. Cela dura une semaine, je ne leur dis jamais que je pratiquais avec ma meilleure amie ce genre de plaisir et elles croyaient avancer en terrain à conquérir. A chacun ses secrets. Le samedi suivant, je les laissais aller faire des courses toutes seules. Moi je préférais attendre le voisin, j’avais envie de jouer avec lui, il fallait aussi que je sache pour les photos.,Quand le tracteur démarra, je fonçais à la grange. « Bonjour, je peux venir avec vous ? » « ...
    ... Bonjour, mais bien sûr, montes » Dès l’entrée du champ, je fis sauter le tee-shirt. « Vous devriez regarder devant sinon on va avoir un accident. » « Oui, oui mais c’est trop beau, je suis sûr qu’ils sont plus gros que sur les photos » « J’ai pratiquement pris une taille et demi de bonnet en 2 ans » De ce fait, ils ballotaient plus qu’avant. J’ai cru que les yeux allaient lui sortir de la tête, une bosse déformait son pantalon. J’étais morte de rire. Quand on arriva à la vigne, je descendis du tracteur et m’appuyais à la roue. « Vous voulez les toucher ? » Il arriva les deux mains en avant, les prit et les malaxa. Moi j’aimais la sensation de ses grosses mains qui palpaient, ses doigts calleux qui trituraient mes tétons. Ce n’était pas la même sensation que la douceur de ma tante et ma cousine. Là j’avais l’impression de me faire labourer la poitrine. « Ils sont gros et lourds comme je l’imaginais. Quels nichons tu as ! » « Vous voulez les lécher ? » Sa bouche plongea sur mon sein et il goba le mamelon, suça le téton, tout en malaxant celui qui ne léchait pas. Il passa à l’autre sein puis me les malaxa à nouveau avant de me les bouffer de rechef puis il prit les tétons et il fit rouler, les pinça, les suça. J’avais l’impression qu’il allait les avaler. Il les mordit. Je gémissais de plaisir, lui aussi. Mes seins étaient en train de virer au rouge tellement il était violent dans ses caresses, mais j’aimais ça. Il se colla à moi tout en continuant à me triturer les seins comme s’il ...
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