1. au domaine


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Gay

    ... ventre, j’étais presque à la verticale, Simon était dans la meilleure posture pour écarter largement mes fesses, il avait une vue panoramique sur mon anus. Il l’écarta avec ses doigts pour y faire pénétrer sa langue, il y parvint en y mettant beaucoup de salive. Bien que mon anus soit serré, il y enfonça son indexe, je me raidis. Il faisait un mouvement de va et vient en mouillant son doigt. Comme je me détendais, il y mit un second, il massait mon sphincter pour le dilater.Je dis à Simon que j’avais mal au dos, il m’allongea sur le ventre en me soulevant le bassin pour toujours travailler mon anus.A un moment, je sentis le bout de son gland toucher ma rondelle toujours aussi mouillée, il poussa doucement, je pris une grande respiration de peur d’avoir mal. Il y allait tellement avec douceur qu’après le passage du gland, le reste pénétra sans difficulté.Il allait et venait doucement, sentant que je n’avais pas mal, il augmenta son mouvement. Au début je ne bandais plus, plus il me faisait jouir, plus je bandais, je me masturbais en même temps que je sentais ses couilles heurter les miennes.Soudain, je sentis Simon se crisper, et un liquide chaud envahit mon ventre en même temps que j’éjaculais en grande quantité sur une serviette.Nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et curieusement nous nous sommes réveillés dans la même position.Cela faisait déjà trois semaines que je travaillais, que mes nuits étaient comblées des plaisirs que le procurait Thierry, mais je ...
    ... savais que demain soir il ne serait pas là car il devait se rendre à Bordeaux pour y subir des oraux qui se déroulaient sur deux jours.Ma tante l’avait emmené le matin, et moi je devais travailler avec un autre coéquipier. Je fus agréablement surpris de travailler en compagnie du beau brun que j’avais repéré le premier jour.Il me serra la main en me disant son prénom : paolo. Nous allions dans notre travée chacun d’un côté des vignes. Je le trouvais vachement attirant, le voyant accroupi son pantalon serrant parfois son entre jambes laissant apparaître des attributs prometteurs. Je lui demandais comment on faisait si l’on voulait pisser un coup, il me dit qu’il suffisait de se mettre dans le sens de l’allée pour ne pas pisser sur les feuilles dans le sens du vent pour ne pas recevoir tout sur soi, sans perdre un instant il me fit une démonstration en ouvrant largement son pantalon pour sortir son paquet, affublé une grosse bite et des couilles dans la même proportion, le tout dans une touffe noire. Je ne fus pas déçu de voir ce que j’avais imaginé. J’étais assez hypnotisé, au point qu’il me dit de ne pas être gêné.Qu’on fût entre hommes que j’avais qu’à faire comme ça à moins que tu sois puceau me rétorqua-t-il.Pas du tout répondis-je !Même avec les garçons me répondit-il ?Un peu choqué je lui envoyais : « et toi ? »« Moi je ne suis puceau de personne ni des filles, ni des garçons »« Moi aussi lui dis-je »« Alors on peut pisser ensemble »Sans attendre, je sortis aussi mon sexe ...
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