1. Un amour de filleule


    Datte: 20/05/2019, Catégories: f, h, fh, hplusag, jeunes, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral pénétratio, fsodo, BDSM / Fétichisme délire,

    ... toujours autant ? Je me marre intérieurement. Ça, c’est typique du Grand Marché, et cela fait partie des raisons pour lesquelles on est prêt à faire des centaines kilomètres pour s’y rendre. — Natacha, je crois qu’il y a du monde pour toi. L’intéressée, jusque là occupée à déguster sa salade terre et mer, croit avoir mal entendu. Je pourrais bien évidemment laisser pisser, mais l’occasion est trop belle de voir s’il est possible de la pousser encore un peu plus loin… Alors, malgré son regard désapprobateur, j’insiste. — Ces messieurs-dames veulent savoir si tu mouilles : il n’y a donc aucune raison que tu ne leur montres pas… Elle me fusille des yeux. — N’oublie pas ; tu as deux options : m’obéir ou appuyer sur le bouton. À toi de voir… Mais dépêche-toi, ils attendent. Je ne sais pas si c’est le côté érotique de ce que je m’apprête à lui demander de faire ou l’expression de son visage mélangeant rage et incompréhension qui est le plus jouissif.« Ah, tu en voulais ? Tu va en avoir… » Alors, sans hésiter, elle se lève de la table et se met face au couple qui, naturellement, n’en perd pas une miette. Là, infiniment fière, les mains sur les hanches et les jambes légèrement écartées, elle attend sagement que l’inspection soit finie. — Non, vraiment, elle est magnifique. Je me lève à mon tour. — Natacha, ces messieurs-dames n’ont pas demandé à voir ta chatte : ils veulent savoir si tu mouilles. Alors, tu vas me faire le plaisir d’aller t’allonger sur la table là-bas et d’écarter ...
    ... les jambes. Le ton de ma voix, aussi calme que ferme, ne souffre pas la discussion. Par contre et de toute évidence, le couple est coutumier du lieu et a très bien saisi ce à quoi je joue avec Natacha. « non », me fait-elle de la tête, implorante. Pour toute réponse, je me contente de prendre sa main et de poser son index sur le bouton rouge. De nouveau, elle hoche la tête négativement, cette fois complètement affolée. — Tu as le choix : la planche ou le bouton. Mais c’est maintenant. J’ai pris soin de prononcer cette phrase d’un ton glacial. Alors, elle attrape doucement la chaîne et, tel un zombie, se dirige vers la table inoccupée. Une fois de plus, je connais cette sensation, et c’est d’ailleurs pour cela que je me permets d’ajouter : — Allonge-toi et écarte tes jambes, que ces messieurs-dames voient bien. Adèle te l’a dit : abandonner sa liberté ouvre souvent des portes que l’on n’envisage même pas, même si pour le moment tu n’en vois que le côté obscur… Alors, des larmes plein les yeux et bien évidement dans le plus grand silence, elle s’exécute sans broncher. Malgré ses pleurs, quelque chose me dit que ses pupilles sont des baïonnettes ; j’ai sans doute du souci à me faire… Dégueulasse ? Peut-être, mais sans doute pas tant que cela ; m’en est témoin l’entrejambe de Natacha qu’elle offre maintenant à la vue de tous ceux qui passent près de nous. Non, elle ne mouille pas ; disons plutôt qu’elle ruisselle, qu’elle se détrempe, qu’elle dégoutte, qu’elle s’inonde… La dame ...
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