Un amour de filleule - Histoires de Sexe

Un amour de filleule

... sourire aux lèvres. Visiblement, le fait que Natacha ne sache pas ce qui se trame n’est pas étranger à sa satisfaction. J’irais même jusqu’à dire qu’il s’en régale d’avance… — Bon, Natacha, nous sommes bien d’accord que tu dois obéir à chacune de mes sollicitations ? Elle hoche affirmativement la tête. — Nous sommes également bien d’accord sur le fait que tu veux, avant toute chose, m’offrir ta virginité ? Nouvel hochement de tête. — Et nous sommes toujours bien d’accord que tu es parfaitement libre de tout arrêter en appuyant sur le bouton de ton collier ? Elle acquiesce. — Dans ce cas, sache qu’il est hors de question que je couche avec une fille aussi inexpérimentée que toi. Tandis que je la regarde se liquéfier, je souris. En vérité, faire l’éducation d’une jeune fille qui ne demande que cela est l’une des choses les plus agréables qui soit, et je serais ravi d’être son « formateur »… Si je n’étais pas déjà son parrain. — Ne fais pas cette tête… Florian va t’apprendre tout ce que tu as besoin de savoir. Mais comme ta fleur doit à tout prix être préservée, il ne te prendra que par le cul… La tronche qu’elle fait ! Ses lèvres bougent ; je n’entends naturellement pas un mot, mais je saisis assez facilement le message qu’elle tente de me faire passer. C’est quelque chose entre « non, je t’en supplie » et « tu peux bien aller te faire foutre ! » En tout cas, son expression est claire : elle n’a aucune envie de se faire sodomiser par notre ami Florian ! — T’inquiète, j’ai très ...

... bien compris… Seulement, la règle est stricte : c’est à prendre ou à laisser. Là, tout de suite, Florian va te prendre par le fion, et il a comme consigne de le faire quand il le voudra, comme il le voudra, où il le voudra et aussi souvent qu’il le voudra. Elle est tout bonnement en train de se liquéfier. — Ah, et il faudra le sucer, aussi… Tu verras que c’est un excellent professeur à ce jeu-là. Je ne sais s’il existe cinquante nuances deGrey, mais elle, elle est en train d’inventer de nouveaux stades dans la liquéfaction. — Et ne t’affole pas ; ta tante serait là, elle te dirait que notre ami sait aussi très bien se débrouiller avec sa langue ou ses doigts, et qu’il n’est pas du genre à ne pas rendre le plaisir qu’on lui procure. Encore une fois, j’ai droit à un flot de paroles inaudibles, ponctuées de grands signes sans ambiguïté possible. Même si je n’en pense pas moins, je fais mine d’être agacé par sa réaction. — Écoute, tu as deux choix : soit tu t’exécutes tout de suite, soit tu appuies sur le bouton. Moi, je ne changerai pas d’avis… En fait, ce n’est pas pour elle que le choix est le plus cornélien, c’est plutôt pour moi. En effet, si elle appuie sur le bouton, cela me fera une excuse en bronze pour ne jamais la toucher… Mais en même temps, comme je l’ai déjà dit, je ne souhaite pas non plus qu’elle s’exclue du Grand Marché. — Cela dit, poursuis-je en passant mon doigt entre les lèvres de son sexe, quand on est aussi mouillée, cela fait un peu désordre de prétendre ...