1. Un amour de filleule


    Datte: 20/05/2019, Catégories: f, h, fh, hplusag, jeunes, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral pénétratio, fsodo, BDSM / Fétichisme délire,

    ... enfin, elle oublie de préciser que les quelques rares fois où cela s’est produit, c’était surtout parce que nous étions sous la tente et qu’elle crevait de trouille sous les orages. — Oui, mais justement, tu ne l’es plus…. Et puis, à l’époque, tu ne te pointais pas à moitié à poil pour dormir avec moi. Je fais allusion à cette nuisette en dentelle quasiment transparente qu’elle porte et qui parvient tout juste à lui planquer la case trésor. — Allez, dis oui, dis oui ! Tu sais bien qu’Adèle s’en fout !— Qu’elle s’en foute ou pas, c’est hors de question. Elle se fait doucereuse pour tenter de m’amadouer. — Et si je mets un vrai pyjama ?— Même avec une ceinture de chasteté et des moufles, ce serait toujours non. Maintenant, laisse-moi dormir, je suis claqué, et nous avons de la route à faire, demain… Deux heures de route, précisément. Nous franchissons un contrôle, puis un autre, et encore un autre. Oui, je suis déjà venu. Oui, je suis membre du Grand Marché. Oui, la demoiselle est majeure, documents à l’appui. Oui, nous ne sommes que deux. Non, il n’y a personne dans le coffre. Non, nous ne sommes pas des journalistes. La route qui serpente se transforme peu à peu en chemin de terre. Nous croisons quelques autres voitures, qui zigzaguent entre les flaques. Ah, enfin, l’entrée, le parking, et là-bas, à une bonne centaine de mètres, un immense barnum de toile blanche, presque aussi grand que ceux des foires-expositions et autres manifestations du genre. — C’est quoi ?— C’est le ...
    ... truc dont je t’ai parlé, le Grand Marché.— Ah ? Et on y vend quoi, au juste ?— Attends de voir. Tu vas comprendre. À l’intérieur, une série de stands séparés par des barrières métalliques, un peu comme dans une foire aux bestiaux, l’odeur et les mugissements en moins. Il y règne par ailleurs un silence de cathédrale, tout juste troublé par un fond musical raffiné et quelques annonces privées. Mais dans les boxes, il ne s’agit pas de veaux, vaches, cochons, couvées, mais bel et bien d’hommes et de femmes, une bonne centaine à vue de nez. Le plus surprenant dans l’affaire n’est peut-être pas leur nudité ou ce collier de cuir noir qu’ils portent tous autour du cou, mais bel et bien sans doute les sourires ravis qu’arborent l’immense majorité d’entre eux. Cela n’empêche pas Natacha d’être scandalisée. — Mais qu’est-ce qu’ils foutent là, tous ces gens ? Ils sont prisonniers ?— Bien sûr que non… Ils sont tous venus ici, bien évidement de leur plein gré, dans le but d’être vendus.— Vendus ? Tu veux dire vendus comme du bétail ? C’est quoi ce délire ?— « Perdre intentionnellement et temporairement sa liberté peut être générateur d’intenses moments de plaisir » ça ne te rappelle rien ?— Si, bien sûr, c’est ce qu’a dit Adèle, mais je ne vois pas le rapport ! Je me tourne alors vers une ravissante blonde attachée à sa grille. Ses longs cheveux, soigneusement lissés cascadent le long de son dos pour se perdre dans la cambrure de ses reins. Lorsqu’elle me voit m’intéresser à elle, elle me ...
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