1. Érotique vernissage


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, pénétratio, tutu, amourdura,

    ... baiser sauvage, tes mains s’empressent de remonter ma robe, sûrement pour vérifier ma nudité. Ta main remonte, se glisse impatiente entre mes cuisses, tes doigts découvrent combien je suis mouillée d’excitation, de désir. Le temps nous est compté, je me penche sur ce bureau, ma robe retroussée, sans management tu viens planter ta queue entre mes lèvres trempées, tes coups de reins sont presque brutaux, tu évacues toute cette pression charnelle bien trop intense, je ne t’ai jamais vu ainsi, excité, terriblement bandant. Tu ne dis rien, je sais cette fois que c’est toi qui maîtrises mon désir, que mon plaisir est entre tes mains. C’est dans un ultime coup de reins que tu jouis en moi. Ta queue plantée si profond ne me laisse même pas le temps de prendre à mon tour ce plaisir tant attendu. Je reste là, surprise… Tu te retires de mon intimité, remonte ton pantalon, tu ne dis toujours rien. Je te regarde médusée, tu viens me glisser au creux de l’oreille juste ces mots : — Aucune maîtrise, ma belle… Puis tu quittes la pièce. Je suis là, penchée, mes fesses à l’air, ma robe retroussée, partagée entre la colère et l’admiration, celle de ta maîtrise. Je me dis à cet instant« tu as voulu jouer ma belle, tu as perdu ». Puis je ressens une vraie fierté, celle d’avoir su t’emporter si loin dans ton plaisir. Mon téléphone sonne, je l’attrape, c’est un texto, juste quelques mots à nouveau. Je me lève, rajuste ma robe, mes cheveux, je quitte cette pièce et cette soirée sans t’accorder le ...
    ... moindre regard. Je sens ton inquiétude, c’est à mon tour de t’écrire : C’est encore toute excitée que je me glisse dans notre lit, laissant dès à présent ma main se glisser entre mes cuisses. Je garde le souvenir de ta queue qui était plantée là, de tes coups de reins qui t’ont amené si rapidement à la jouissance. C’est un souvenir à la fois doux et frustrant. Mes doigts trouvent rapidement mon bouton. Ils l’effleurent d’abord, puis le caressent, le titillent. Je sens le plaisir monter rapidement et j’ai très envie d’une jouissance rapide, une jouissance si puissante qu’elle me laisserait sans force, anéantie. Mes cuisses se ferment sur ma main qui s’active sur mon intimité brûlante. Je me caresse telle une belle forcenée acharnée au plaisir, brûlante et gémissante. Le plaisir est rapide, très violent, je suis enfin délivrée de cette tension qui avait mis tous mes sens en alerte. Épuisée, je finis par m’endormir. Lorsqu’enfin tu me retrouves, je suis profondément endormie. Tu as pensé à nos retrouvailles tout le reste de la soirée et tu es un peu déçu de constater que je ne t’ai pas attendu. Tu te déshabilles en silence, tu viens te glisser en douceur sous la couette. Tu te colles délicatement contre mon corps. Tu savoures juste un moment le contact de mon corps désormais tout chaud du sommeil qui m’enveloppe. Ta queue est dure, elle vient se glisser naturellement entre mes cuisses. Tu respires le parfum de mes cheveux, de ma peau. Tu déposes de légers baisers au creux de mon ...