1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°918)


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... suis... je suis la putain de Sir Evans, Monsieur le Mar ...Marquis d'Evans". Appliquant à la lettre les consignes, e44, au fil de l’énoncé de la phrase, se retirait. Sissy avait-elle à peine fini qu'il repartit de l'avant, cette fois d'un trait. Sissy cria, couvrant les accords de l'orchestre. Elle eut cependant la force de prononcer une nouvelle fois : - "Je suis la putain de Sir Evans, Monsieur le Marquis d'Evans". e44 se retira à nouveau, s'enfonça à nouveau et Sissy dit une troisième fois :" - Je suis la putain de Sir Evans, Monsieur le Marquis d'Evans". L'esclave reproducteur put alors, comme son compère, le beau géant qui travaillait l'esclave rousse, donner libre court à sa puissance, à sa fougue et à son envie de saillir une femelle. Sous ses coups de boutoir Sissy, telle une poupée de chiffon, dans un état second subissait les assauts. Elle hoquetait, râlait, serrait les dents ne percevant plus que son fondement labouré, emplit, forcé... Comme Monsieur le Marquis en avait donné l'ordre le coït dura cinq terribles longues minutes au terme desquelles Sissy reçut en cul le puissant flux de foutre tiède de e44. A peine s'était-il retiré que e45 présentait à son tour à l'entrée de la croupe de Sissy le gland turgescent et gonflé d'une queue d’une égale grosseur... Le même protocole se répéta. Trois fois Sissy du prononcer distinctement devant tous qu'elle était une putain, la putain de Sir Édouard, Monsieur le Marquis d'Evans avant que e45 ne donne libre cours à sa ...
    ... bestiale besogne. C'est à peine si elle entendait les gémissements de plus en plus profonds de l'esclave rousse qui haletait sous les assauts virils du géant. Les halètements d'animal, qu'elle émettait, laissaient présager l'éminence d'une jouissance d'une rare intensité. Mais Sissy n'avait plus vraiment conscience de ce qui l'entourait. Elle n'attendait que la fin des cinq minutes pour servir de réceptacle à la semence de l'esclave et espérer un peu de répit. Les feulements rauques de l'esclave rousse amplifièrent encore pour finalement devenir des rugissements de plaisir … Elle jouissait du cul sans aucune retenue, comme un fauve. L'esplanade retentissait de ses cris de plaisir auxquels se mêlaient maintenant les grognements sourds du géant qui laissait éclater lui aussi une jouissance hors norme. Les ongles de Sissy pénétraient au plus profond du tapis pour s'agripper à quelque chose au moment où e45, à son tour, explosa en elle et déchargea son flot de foutre épais et dense. Elle s'écroula au sol, presque inerte, et sentit à peine que Raymond remettait le plug en place avant même que la moindre goutte de semence ne vienne souiller le tapis. Le Marquis frappa une nouvelle fois dans ses mains. La musique s'arrêta. Sans un mot les domestiques quittaient l'esplanade. e44 et e45 s'éclipsèrent, rejoignant comme ils en avaient reçu l'ordre le quartier des esclaves. Raymond repris en laisse la rousse et le géant, s'inclina en direction du Marquis et lui aussi quitta l'esplanade. Sissy ...