Exposé nu devant les amies de sa mère (3)
Datte: 21/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... long et épais, fait de même avec sa fille toujours immobilisée par des liens serrés. Lucie trouve cela tout-à-fait charmant et prend quelques photos en souvenir, puis, n’y tenant plus, relève sa robe et se branle, une main dans sa petite culotte blanche et trempée laissant entrevoir ses poils pubiens. Pendant ce temps, son fils est harcelé par une bonne dizaine de femmes très excitées qui prennent un malin plaisir à le lutiner en maints endroits de son corps, en particulier les plus intimes, profitant honteusement qu’il soit nu et vulnérable à leurs assauts. Se laissant faire sous ses libidineux outrages, il circule de bras en bras, sous l’œil suspicieux des maris jaloux de le voir si bien membré. L’une réussit même à glisser un doigt dans le petit trou sombre d’entre les fesses qu’une autre a vicieusement écartées. Bientôt, la prostate est la cible du leste attouchement, ce qui provoque immédiatement une incoercible montée du besoin de se libérer de la semence. Un peu de liquide pré-éjaculatoire perle au gland. Une main se faufile dans la foule et chatouille irrésistiblement les bourses. Sam se retourne brusquement dans le but de gifler quelques-unes de ces polissonnes, mais l’une a ouvert son corsage où aucun soutien-gorge ne masque des seins auxquels nul mâle, jeune ou vieux, ne peut résister, ne serait-ce qu’une seconde ! D’autant qu’une autre libertine a pris le relais, poursuivant le massage de la glande à laquelle on ne peut accéder qu’en insérant un doigt dans le cul ...
... qu’elle triture joyeusement. Le garçon pelote les généreuses mamelles durcies par le désir qui lui sont présentées, et bientôt, la belle dame espiègle se laisse renverser en arrière, les cuisses complètement écartées, exhibant son absence de culotte, c’est à dire une cramouille toute dégoulinante de mouille mêlée de glaires visqueuses à souhait, invitation particulièrement explicite à y plonger tout droit le membre turgescent. Juste avant de céder à l’incontournable tentation, Sam jette un coup d’œil vers sa mère qui lui envoie un regard courroucé et lève les yeux au ciel, impuissante : que pouvait-elle faire face à une telle horde de succubes frénétiquement aimantées par le vit incandescent de son fils ? Rien du tout ! D’autant qu’impuissant, le garçon est loin de l’être : il est même prêt à ensemencer dans ce train tout ce qui portait jupon avant de le retirer. D’ailleurs, on est arrêté en pleine voie, car le conducteur est une conductrice et, prévenue par un contrôleur, elle veut sa part comme les autres femmes. Juste avant de quitter son poste de conduite, elle prévient d’ailleurs par haut-parleur : tant qu’elle n’aura pas été labourée et pleinement satisfaite, on ne repartira pas, dût-on y passer la nuit entière. Mais, au grand soulagement des gens pressés, elle est promptement embrochée par Sam et foutue profondément et à satiété, comme le sont toutes les autres qui se présentent à tour de rôle, y compris les petites vieilles auxquelles cela rappelle leur jeunesse, et ...