Le pompon du marin
Datte: 21/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... sont cons de rater ça. Il conclut sa phrase par une légère accélération de la pénétration, je me mets à couiner. Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je me cambre pour qu'il rentre plus aisément en moi, sa main flatte mon dos pour approuver ma position. C'est vrai, quand j’y pense, je suis excité comme jamais, et j'ai envie de me donner à fond pour, peut être, avoir la chance de le revoir et pas uniquement gagner son chapeau à pompon… Il se retire de moi et me met sur le dos, cuisses serrées et levées, me pénètre à nouveau. Cette position m'a resserré sur son pieu, j'en sens à nouveau la moindre veine. Le bruit de mon antre délicieusement secouée me fait bander et je mouille comme jamais. Il ondule du bassin pour m'ouvrir un peu plus, il me donne chaud! Lui aussi transpire à grosse gouttes, elles coulent au creux de son cou sur ses pectoraux gonflés par l'effort. Le voir comme ça en plus de ce qu'il me fait me conduit doucement vers l'apothéose finale. Sauf qu'il sent où j'en suis et que lui n'a pas terminé. Il quitte mon intimité - qui doit plus ressembler à une caverne après son passage - et s’allonge à côté de moi, attend que mon excitation redescende. Il me tient les mains pour ne pas que je sois tenté de me branler. En même temps, sa langue court sur ma peau, m’arrache quelques frissons alors qu’elle passe sur le lobe de mon oreille. Quand je suis à nouveau prêt à me faire prendre, il me fait m’asseoir sur lui. Je suis tellement ouvert que ça rentre comme dans du beurre, je ...
... gémis encore. Il me soulève légèrement pour être celui qui fait les mouvements, je perds à nouveau la tête. Ça devrait être interdit d’être si bon au lit, car même si je n’ai aucun sentiment pour lui il me rend accro au sexe. Juste en une fois, je deviens un drogué à son corps et à sa queue de Dieu, bien plus accroché qu’à je ne sais quelle héroïne. J’essaie de retenir mes gémissements mais je ne les rends que plus sensuels, coupés par les à-coups provoqués par son assaut. Il me tourne ensuite sur le ventre et m’écrase de tout son corps. Le tempo, plus rude, fait claquer sa peau contre la mienne. La délivrance est proche, il sent bien que je me contracte, tandis que je sens son gland qui devient plus dur. On jouit en même temps, je sens son immensité gonfler et pulser en délivrant ses jets chauds en moi. L’extraction finale se fait sans que rien ne ressorte, je fais en sorte de le garder en moi, pour lui montrer que j’ai adoré avec lui. L’effet semble marcher, il m’embrasse avec fougue avant de se rhabiller. – C’était top, par contre faut que je retourne bosser un peu. Désolé de te faire partir comme ça si rapidement, j’aurais bien passé plus de temps avec toi mais... – Ok… Je réponds à peine, encore un peu dans les vapes et épuisé de cette bataille navale. Le soleil est haut dans le ciel, je n’ai pas vu les heures passer. On se rhabille en silence, il ouvre la porte de la cabine, et, alors que je vais sortir, me lance : – Tu n’oublies rien? A la main, il tient son chapeau à ...