1. Delilah Desire : une bataille


    Datte: 21/05/2019, Catégories: religion, nympho, bizarre, fdomine, Oral pénétratio, fantastiqu, fantastiq,

    ... bien qui régnait sur le monde de Doniri. Erolt était une ville indépendante, construite dans le duché de Néron, le nécromant. Des quatre Hauts Ducs, Néron était probablement celui qui appréciait le moins Déa et ceux qui la priaient. Même Nargulh craignait la déesse… Mais Néron était un magicien impie, un monstre humain. Et Delilah était certaine que jamais le Haut Duc ne planifierait de représailles contre elle pour avoir écrasé cette ville de croyants idiots et stupidement « bons ». Elle descendit de son cheval et, seule, monta calmement les immenses marches qui menaient au temple, ondulant des fesses et des hanches à chaque pas. Autour d’elle crépitaient sa magie et son aura sexuelle. Les portes du temple étaient ouvertes, mais l’intérieur plongé dans la pénombre. Son épée toujours à la main, Delilah entra sans peur. L’air était épais, froid, et depuis les dizaines de vitraux qui décoraient les immenses murs, des touches de lumières colorées dansaient sur le sol. Face à Delilah, une statue de Déa en marbre blanc. Une femme blonde, toujours souriante, dans une robe longue et simple. À peu près trente fois moins de poitrine que Delilah, nota la maîtresse de guerre avec un mépris amusé. Et entre Delilah et la statue de Déa, dix gardes en armure, et le prince d’Erolt. D’un tranchant de son épée dans l’air, Delilah envoya les gardes s’écraser contre les murs. Derrière elle, par la porte ouverte, elle entendait le massacre de ses hommes dans la ville. Son sexe n’arrêtait pas ...
    ... d’exploser, orgasme après orgasme. Elle avança vers le prince en se frottant les cuisses l’une contre l’autre. — Re… Recule, démone impie !— Démone ? dit Delilah en souriant. Je ne suis pas une démone, petit homme… Le prince était presque un vieillard, et c’est en tremblant qu’il recula jusqu’à la statue. Delilah avança lentement vers lui, sa lame brillant d’une lumière lugubre. — Prosterne-toi devant moi, vieillard, ordonna-t-elle soudain d’une voix forte.Maintenant !— Ja…Jamais ! À court de solution, il se jeta en avant, brandissant devant lui une croix en ivoire, symbole de Déa. Delilah lui attrapa le poignet, le brisa dans un cri de douleur, et prit le crucifix des doigts tordus du vieux prince. Elle caressa l’ivoire de ses doigts, sous le regard humide et désespéré du prince, à genoux au sol. — C’est doux… murmura-t-elle. Sans un mot de plus, elle s’enfonça la branche la plus longue du crucifix dans le sexe, et sa mouille coula lentement le long de l’objet saint. — Tu vois ? demanda-t-elle en souriant. Ça ne me brûle pas. Je ne suis pas une démone… Mais pas loin. D’un coup d’épée, elle décapita le prince. Elle ressortit sur le parvis du temple, qui dominait la ville d’une dizaine de mètres. À ses pieds, son armée avait rassemblé les civils en une foule apeurée. Delilah, le corps toujours nu et couvert de sang, s’avança jusqu’au bout du parvis, et brandit au-dessus d’elle la tête du prince d’Erolt, et la tête de pierre qu’elle avait arrachée à la statue de Déa. Elle jeta les ...
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