1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°821)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... personnelle. Ton principal lieu de travail restera ici, même si moi je n’y suis pas physiquement, j’y serais en web conférence, et donc tu travailleras comme si j’étais présent. Mais tu seras également amenée à devoir venir me rencontrer chez Moi, au Château, professionnellement parlant, du moins aux yeux de ton entourage vanille ! Ce qui me laissera à loisir la possibilité de faire de toi, qui m’appartient, absolument tout ce que je veux ! Je songe par exemple, à te faire appeler une fois par mois pour le week-end complet. En attendant que tu deviennes Ma secrétaire, nous nous verrons plus rarement, surtout au début, mais tu verras que tu seras tout de même amenée à subir Ma domination, et lorsque Ma décision sera devenue officielle, pour « t’évaluer » sur ce nouveau poste, tu devras venir quand je l’exigerai passer du temps sur Mes Terres dans le Beaujolais, peut-être bien une semaine complète… Et à ces mots le Maître me regarda fixement. Je baissais rapidement les yeux. Une semaine ?comment est-ce que j’allais gérer la garde de mes filles, si cela tombait sur une absence de leur père ? Mon mari serait-il d’accord pour me laisser accepter un travail aussi prenant et contraignant pour la vie de famille ? Mais ces points sombres furent vite balayés par d’autres pensées plus réjouissantes ! Une semaine ? Une semaine avec Lui, une semaine de soumission totale ou presque si je dois travailler un peu, vanillement parlant ! Une semaine à me laisser aller à ma nature profonde ! ...
    ... Rien que l’idée faisait déjà réagir mon bas-ventre. Le Maître dut percevoir le serrement de mes cuisses sous la table, car soudainement, Il s’interrompit, se leva, m’intimant l’ordre de rester assise. Il tira la table loin de moi, me fixant toujours de Son regard bleu profond, avec l’air d’un prédateur prêt à fondre sur Sa proie mais avec une Maîtrise parfaite. Il passa derrière moi, je L’entendis se saisir de quelque chose, puis il revint devant moi tenant la pelote de ficelle de cuisine à la main, avec un sourire carnassier. - Ne sais-tu pas qu’une bonne soumise doit toujours avoir les cuisses bien écartées ? Tu vas m’obliger à devoir les attachées ! Et disant cela, il commença par m’attacher chaque cheville à un pied de la chaise, puis chaque genou. Il me fit pencher légèrement en avant pour me bondager les seins, faisant passer la ficelle dans l’anneau de la médaille de mon collier, puis me collant au dossier m’attacha de manière à ce que je ne puisses plus non plus bouger le torse, et il fit par les mains qu’Il maintint derrière ma tête en faisant passer la cordelette à une des poutres du plafond, après l’avoir fait s’entourer sur mes cheveux en une queue de cheval, ce qui fit que le moindre mouvement de ma tête ou de mes mains était douloureux pour mes racines. Il partit vers la tablette que j’avais préparé de nouveau hâtivement avant qu’Il n’arrive, et se saisit de mon mini fouet, dont le manche était un petit phallus. Il me remit mon bandeau et après quelques minutes à ...