1. Un Maître asservi (2)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... qu’elle avait subi, des implants mammaires, sans doute autrement plus imposants pour lui ? Cela allait être très amusant. Il était un peu gros et il faudrait le faire maigrir, mais pas par le sport. Elle le voulait mou et faible, simplement par la privation continue. C’était au fond bien plus sadique. Et elle imaginait sa honte avec une très lourde poitrine à gérer. Elle mit de la musique pour donner plus de relief à la soirée, il était temps de passer à des choses plus sérieuses. Elle prit l’esclave par la cagoule et l’emmena vers la table basse qu’elle avait repéré le midi. Couché dessus, sans lui enlever les pinces sur lesquelles il s’aplatit, elle défit rapidement les menottes des mains, pour ramener les bras vers l’avant et les attacher aux pieds de la table, faisant de même avec chacune de ses chevilles. Une corde maintint fermement son bassin sur la table, il était ainsi bien offert et étiré, les jambes très écartées offrant une vue unique sur son plug et ses couilles foncées. Isabelle se saisit d’une cravache avec un large bout et tapota les couilles ainsi offertes à son sadisme. Bien immobilisé je ne pouvais pas bouger, terrorisé par ce qu’elle pourrait faire à mes précieuses bourses. Les coups étaient de plus en plus appuyés, jusqu’à ce qu’Isabelle se décide à taper fort, des coups secs, m’envoyant des décharges de souffrance terribles. Avait-elle l’idée de la souffrance infligée ? Les cris étaient étouffés par le bâillon qui remplissait toute ma bouche. Les coups ...
    ... n’arrêtaient pas, Isabelle semblait fascinée par la souffrance infligée, pour son plaisir, une main dans sa culotte baignant dans son excitation et l’autre frappant aussi fort que possible sur les couilles offertes. Seul l’orgasme qui la ravagea réussit à mettre fin à cette torture terrifiante. Bien entendu ce n’était que le hors d’œuvre, Isabelle avait pour objectif de rendre mon corps marqué et lacéré comme sur les photos les plus violentes que je chérissais régulièrement. Si c’était une première pour Isabelle, son expérience en tant que victime lui avait enseigné l’usage des différents instruments de torture qu’elle avait emmenés. Elle commença par le bâton, sur les fesses et l’arrière des cuisses de son esclave. Et découvrit que ce n’était pas si facile de frapper fort et précisément. Surtout pour faire les marques qu’elle souhaitait, elle devait frapper la chair offerte à toute volée. Il lui fallut quelques minutes pour s’ajuster. Alternant les séries longues, avec des séries courtes, sans compter ni sa peine, ni sa violence, ni le nombre de coups. Seul le résultat l’intéressait. Sa chose souffrait terriblement, comme jamais elle n’aurait pensé pouvoir faire souffrir, sans aucune compassion de sa part, voire même l’inverse, une sorte de mépris à accepter de subir toute cette violence. Je ne pouvais pourtant rien faire, je subissais un défoulement de violence inouïe, provoquant l’effondrement de mon esprit, passant alors de l’autre côté, dans une euphorie paradoxale, un ...
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