1. Charlène, son neveu et ses pôtes (2)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... voilà au royaume des fétichistes. Les garçons ont décidé de m’habiller. Enfin, si l’on peut dire... Ils jettent leur dévolu sur une robe manteau court en vinyle brillant, intérieur satiné, grand col relevable et fermeture par boutons pression invisibles, sans poches, ceinture avec passants. C’est ce que dit le descriptif. Il y a toutes les tailles. Je fais du 40, mais ça sera du 38, bon. Je fais l’essayage en sous vêtements sans fermer le rideau de la cabine. Le bas de ladite robe me passe vraiment au ras du bonbon et ma poitrine déborde légèrement de l’échancrure du col. Cela leur va très bien... Ils me dégotent une paire de cuissardes en 37, avec des talons plus que haut. L’ensemble fait un peu vieille pute, mais puisque cela leur convient je me prête au jeu. Comme il fait un peu frais dehors, je réclame quelque chose à porter dessous et j’ai droit à un body opaque noir, qui colle bien avec l’ensemble. Je repasse par la cabine, me déleste de mes sous-vêtements, enfile le body que je clipse entre les jambes, puis la robe manteau et enfin les bottes. Je suis fin prête. Philippe sort une liasse de billets de 50 et 100 €, paye et demande au caissier un sac pour fourrer les vêtements avec lesquels je suis venue ici. Dés que nous passons le pas de la porte, je deviens l’attraction du boulevard. Ça zieute dans tous les sens. Abdel, qui s’était tenu tranquille jusque là, passe derrière moi et remonte ma robe sur mes fesses. J’ai le cul à l’air, puisque seul le string du body ...
    ... intervient entre mes fesses. Je me fait traiter de traînée par une quadragénaire dont le mari a eu le tort de vérifier à courte distance mon anatomie. On marche un peu mais comme la fourrière va bientôt embarque la Golf, on remonte vite fait dans la voiture. Philippe récupère au passage la prune que lui tend la contractuelle et démarre sans plus tarder. Il jette la contravention par la fenêtre au carrefour suivant et nous filons vers la Place Blanche. Mon neveu est délicat. Il sait que j’adore les fruits de mer et que c’est le meilleur endroit de paris pour en manger. Nous débarquons à la brasserie «Les Deux Théâtres». Le loufiat à l’entrée va nous dire qu’il n’y a pas de place, mais Philippe lui coupe le sifflet d’un billet de 50€. Et là nous pouvons nous installer où bon nous semble. Il est 20 heures et pas mal de monde commence à arriver. On s’assied autour d’une table ronde, mon neveu d’un côté, les deux autres tirent la place à ma droite au sort. C’est Abdel qui gagne. Au moment où je vais me poser, Philippe, cachotier, me fait signe que non. Il me tend un petit sac en plastique qu’il sort de sa poche. Je jette un œil, il a fait des emplettes supplémentaires pendant que je m’équipais en vinyle. Pas grand chose, trois boules de geisha et une chaînette courte avec des pinces-étaux au bout. Je vois à peu près à quoi ça peut servir et file aux toilettes. Mince, il y a quelqu’un. Personne alentour par contre. Je me place derrière la porte et défais les boutons pressions de mon ...