COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. À plusieurs (3/10)
Datte: 23/05/2019,
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Dans la zone rouge,
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux. C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au dessus d’Aix les Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne. Le chalet que nous louons est propre et fonctionnel, c’est loin d’être le cas d’Albert le proprio avec sa casquette crade visée sur sa tête. Sous la douche, je me blesse à une cheville, lorsqu’il vient nous dire que le mitigeur est inversé, bleu sur chaud, rouge sur froid, c’est malin de le dire si tard, car en plus de ma cheville, je suis à la limite de me brûler au deuxième degré. Soyons folle, troisième degré, mais plus réellement, sûrement à peine la peau rosie. Albert me remet ma cheville en place et me la bande dans un premier temps, m’empêchant de partir faire une marche en montagne avec mon homme Pierre. Ça m’arrange bien car les kilomètres chaque jour, nous couchant à la dure, très peu pour moi. Pierre part seul, je suis tranquille dans un transat quand Albert vient regarder ma cheville avant de me proposer de venir voir des poussins et des petits lapins nés dans la nuit. Ils sont bien là, mais la verge de notre voisin aussi. Il me prend par surprise sans pour autant que je ne me rebelle, le morceau qu’il m’introduit, me faisant jouir dès la première pénétration. • Viens voir mon Spa, tu vas pouvoir te remettre en forme. Pour la première fois, j’entre dans sa demeure, je suis étonnée du ...
... modernisme quand je vois l’homme devenu mon amant. Son don de guérisseur doit lui rapporter énormément d’argent ou sont-ce les produits qu’il vend au marché ? Il démarre le bain bouillonnant, je suis venue de la grange nue, sans aucune pudeur, j’entre, l’eau est à bonne température, je pourrais presque nager, je roule sur moi-même comme pourraient le faire des dauphins. Quand je refais surface, je manque d’éclater de rire, Albert est nu, c'est la première fois que je vois son corps, on dirait un ours ! Je sais que les hommes que j’ai vu nus sont rares, mais les poils qui recouvrent son corps sont si nombreux que si on les coupait, on pourrait en faire un pull-over, c'est impressionnant et signe, pour moi, d'une grande virilité, cela change de la poitrine couverte de poils blancs de Pierre. Il en a jusqu’au-dessus de ses épaules, mais le plus drôle, outre son sexe que je vois mieux que dans la grange, il a gardé sa casquette. Quand je disais qu’elle était vissée sur sa tête ! Il s’approche, je sens qu’il veut me brouter la chatte, je m’accroche au rebord et fait un semblant de planche, mes jambes remontent, il les écarte et met son nez sur mon clitoris, il le fait bouger, je démarre une nouvelle fois. Je suis très sensible de mon petit bouton et sa langue fait des merveilles, je jouis en gémissant. Je dois m’accrocher fortement surtout quand, se redressant, il m’empale littéralement. Contrairement à la première fois près des cages à lapinous où il était derrière moi, je vois entrer ...