1. Chez notre logeuse (1)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Lesbienne

    ... minou. Depuis le temps que nous nous chauffions toutes les deux, je me demande si Sophie n’a pas joui juste sur le fait que ma langue commence à titiller son clito. Elle était allongée nue sur le lit et moi j’étais accroupie entre ses jambes, de temps à autre je la regardais mais le reste du temps je lui faisais sa toilette intime. Son nectar avait un goût divin et une odeur entêtante, cette odeur je m’en serais parfumée tellement elle me faisait de l’effet. Ce soir-là j’étais surtout en train de réaliser que nous étions en train de devenir des petites gougnottes, je n’en avais que foutre de toute façon nous nous donnions du plaisir et c’était le principal. Excitée comme elle l’était, Sophie n’a pas été bien longue à prendre son pied sous la pression de ma langue sur son clito. J’ai continué un petit peu avec ma langue car je sais que quand on dépasse le plaisir, cela devient insupportable mais oh combien bon. Quand j’ai cessé, Sophie m’a tirée à elle et a tiré les draps pour que nous nous endormions. De mon côté j’étais un peu restée sur ma faim mais je savais qu’il y aurait un retour, c’est enlacées que nous nous sommes endormies; en petites amoureuses que nous étions en train de devenir. Nous avons dû dormir quatre heures ou cinq heures pour nous réveiller en pleine nuit et remettre ça mais ce coup-ci c’est Sophie qui est passée à l’action et qui m’a rendu la pareille. C’est sous les draps que Sophie s’est glissée pour arriver à mon entrejambe, je vais vous avouer que ...
    ... quand elle est passée à l’action, j’étais encore en train de dormir; je ne vous raconte pas la douceur du réveil en pleine nuit. La maison était d’un silence déprimant, nous entendions que le bruit du frigo au loin. La nuit précédente je m’étais réveillée mais j’étais seule dans mon lit, j’avais mis très longtemps à me rendormir car il y avait deux chats en train de se courtiser dans le jardin. Là maintenant, les seuls bruits que je pouvais discerner dans la chambre c’était le frottement des draps et quelques bruits de succion, donc je vous laisse imaginer la provenance. Plus le temps passait et plus Sophie écartait mes cuisses pour se libérer un accès le plus large possible à mon abricot. Pendant qu’elle était en train de me faire reluire la friandise, je sentais ses mains indiscrètes qui allaient me caresser mon petit trou. Je peux vous garantir que sous les draps il y avait une sacrée odeur de sexe féminin. En fait Sophie était en train de sonder toutes mes zones érogènes, maintenant j’en étais arrivée à aller à la recherche de ses caresses. Maintenant elle était en train de me brouter le minou mais en même temps elle faisait coulisser deux doigts dans mon rectum, ce qui me faisait le plus grand bien du monde. Si j’avais su avant l’année scolaire que j’allais prendre plus de plaisir avec une femme avec un homme cette année, je n’en aurais pas cru mes oreilles. J’avais laissé mon homme Franck à La Roche-sur-Yon car il faisait un BTS alternance. J’étais amoureux de lui mais je ...
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