Le précieux
Datte: 24/05/2019,
Catégories:
h,
fh,
couple,
grosseins,
Collègues / Travail
volupté,
fdomine,
Oral
attache,
J’ai toujours aimé les femmes. D’ailleurs, aujourd’hui, je ne suis entouré (ou presque) que de femmes, que ce soit au boulot ou à la maison. Je crois que cette fascination est née avec ma curiosité démesurée pour les choses que je ne comprends pas. Et pour l’ado de treize ans que j’étais, le plus grand des mystères ne pouvait être autre chose que le corps des femmes. Et puis, leur compagnie est tellement agréable. Bref, à treize ans, j’ai réussi à avoir entre les mains «L’amant de Lady Chatterley », un livre très hot pour mon âge. Je crois même qu’il a été interdit en Grande-Bretagne, au moment de sa publication. J’ai découvert, à ce moment-là, des descriptions très fines des sensations qu’une femme pouvait ressentir : le trouble, l’envie, le plaisir de différentes caresses, les frissons sur la base du dos qui investissent les vertèbres une à une. La puissance du charnel, le pouvoir de la peau sur une autre peau. En pratique, de longs moments de caresses solitaires emplissaient mes après-midi libres. À ce moment-là, je ne connaissais pas encore la frénésie et la nervosité de l’éjaculation, je connaissais par contre une montée du plaisir comparable à la montée d’une marée qui grandit dans tout le corps, jusqu’à le submerger. Un filet de liquide transparent mouillait mon short. Dix-sept ans plus tard… 6 heures du matin. Elle est rondelette, ses gros seins laiteux embrassent ma poitrine, nos lèvres sont mouillées et collées. Je sens ses contractions aspirer ma verge au fond ...
... d’elle. Je la sens sursauter à chaque fois que mon gland décalotté touche la barrière de son utérus. Elle gémit, s’accroche, pour que je ne m’enfuie pas. Pour que je reste en elle. Encore un peu. Je me contracte. Me crispe. Me relâche. Elle s’accroche encore. Ses yeux sont larmoyants de plaisir et d’envie à la fois. Je me retire doucement. Son bassin essaie de se coller au mien. Elle est déçue. Je sors complètement mon précieux dégoulinant et épicé. Sa respiration ralentit. J’adore ces moments d’attente qu’elle doit certainement détester. Je me suis rappelé un passage de mon livre de chevet d’ado où je m’étais promis de faire ressentir à une femme ce que l’héroïne du bouquin interdit a vécu. Son amant jardinier avait éjaculé en elle avant qu’elle ait satisfait toutes ses envies. Ses yeux en détresse avaient emballé son amant qui l’avait pénétrée une nouvelle fois. L’attente. Oui. Ce que je veux faire, c’est arrêter le temps et déguster ce moment rare. Toujours enlacés et couchés l’un contre l’autre. Mon précieux est resté à l’entrée de son vagin. Ses yeux brillent et plongent intensément dans les miens. Nos lèvres s’effleurent. Ma main lui prend une fesse. Ma bouche s’empare d’une de ses mamelles. En la prenant ainsi, sa respiration reprend de l’amplitude. Elle sent toujours la puissance de mon érection. Ses bras m’étreignent. Mon précieux lui caresse le bourgeon et l’entrée de la caverne du plaisir en même temps. Mon doigt explore le contour de sa rose humide. Mes mouvements de ...