1. Divines et libertines - 3


    Datte: 24/05/2019, Catégories: ff, fête, fsoumise, jalousie, échange, init,

    ... boule de feu qui irradia dans son sexe, hurlant de plaisir et de surprise alors qu’un deuxième orgasme successif l’emportait aussitôt après, encore plus intense, l’obligeant à agiter furieusement son bassin au rythme des vagues brûlantes qui déferlaient dans son bas-ventre. Désarçonnée par tant de fougue, Jessica lâcha prise et se retrouva écartelée sous une Maud méconnaissable, comme possédée par le démon de la luxure. Sans hésitation, elle la déshabilla avec une hâte fébrile, comme si sa vie en dépendait, impatiente et gourmande. Quand elle fit glisser le string de Jessica le long de ses jambes, le spectacle qui s’offrit à cet instant à elle la laissa interdite, figée, émerveillée. Ses seins aux pointes dressées appelaient des caresses interminables. Sa fente délicatement taillée en triangle semblait être une invitation, déjà humide, brillante… Les mains de Maud écartèrent ses cuisses, les soulevèrent et les posèrent de chaque côté de son visage, sur ses épaules. Son intimité, nue, entrouverte, lubrifiée d’un léger désir, s’offrait à elle, le spectacle le plus érotique qu’elle ait jamais vu. Autant un homme nu, avec son sexe dressé, ne lui avait jamais fait trop d’effet, autant ce sexe de femme la mit dans tous ses états. Avec Olivier, elle avait hésité six mois avant de lui faire sa première fellation, et voilà qu’elle avait déjà envie de goûter à ce sexe de femme, parce que rien n’était aussi beau, aussi aphrodisiaque, comme la plus tentatrice des gourmandises. ...
    ... Troublée, avec une délicatesse presque religieuse, elle se pencha, posa ses lèvres sur la toison brune, effleurant le haut de sa fente, s’y posant, s’y frottant, dardant une petite langue pour la parcourir sur toute sa longueur. Sa vulve ouverte était un vrai régal. Son goût de femme, son goût de miel, était le plus délicieux des nectars, comme une offrande magique dont elle n’arrivait pas à se rassasier… De la pointe de la langue, elle dessina des cercles puis, mue par une soudaine impulsion, prit l’initiative d’insérer un doigt dans sa fente brûlante et trempée. Jusqu’ici, Jessica ne cessait de râler comme un fauve blessé ; mais à cette dernière caresse plus précise, elle cria de surprise. Impitoyable, Maud saisit aussi le clitoris frémissant entre ses lèvres, l’aspirant et le taquinant avec une insistance diabolique, gagnée par une perversité sans nom, une audace qui ne lui ressemblait pas. Avec Olivier, elle s’était toujours montrée sage, traditionnelle, docile même, sans aucune imagination. Et là, de l’imagination, elle en débordait ; cela lui venait naturellement, comme si elle était faite pour les caresses homosexuelles. Elle avait une furieuse envie de la faire jouir, la faire crier, la rendre heureuse, la surprendre et se l’attacher sexuellement de façon définitive, comme par peur de la décevoir ou la perdre… Alors, tout en continuant de lui lécher avidement le clitoris, elle réussit à glisser deux doigts, puis trois, dans sa fente béante. Jessica n’en pouvait plus de se ...