1. Roadtrip (3)


    Datte: 24/05/2019, Catégories: Trash,

    ... elle a posé sa main sur mon entrejambe et m’a regardé avec son regard de braise. _ On dirait bien que tu avais très envie de rentrer, m’a-t-elle dit. Je n’ai pas répondu, mais à peine étions-nous dans l’appartement que je poussais Nina violemment contre le plan de travail de la cuisine et relevais sa robe au-dessus de sa taille. Elle a, elle-même, écarté son string, puis ses fesses, tandis que je sortais mon sexe dur de mon pantalon. Deux doigts ont glissé sur sa fente. Elle était trempée. _ On dirait que tu avais aussi envie de rentrer, ai-je dit en claquant son sexe du plat de ma main. Je n’ai eu aucun problème pour m’enfoncer entièrement et profondément en elle. De ma main gauche, je tenais fermement ses cheveux, la tirant en arrière et la forcer à se cambrer au maximum. De la main droite, j’agrippais tantôt sa gorge, que je serrais entre mes doigts, tantôt sa poitrine, que je m’amusais à pincer et gifler. La bête féroce et dominatrice qui se terrait au fond de mes entrailles était remontée à la surface en même temps que mon excitation, et Nina allait en subir les conséquences. Malgré ses cris, entre plaisir et douleur, je ne me suis pas arrêté de faire rougir sa peau à chacune de mes fesses ou autres gifles ou griffures, et je n’ai à aucun moment ralenti la cadence de mon sexe à l’intérieur du sien. Je l’ai baisée, en bonne et due forme, comme si c’était la première et la dernière fois que je le faisais. Je ne me suis arrêté qu’une dizaine de minutes plus tard, quand ...
    ... j’ai voulu changer d’orifice, mais Nina a saisi mon sexe avant que je puisse faire quoi que ce soit. _ Pas par là s’il te plaît, ça me fait encore mal de la dernière fois, m’a-t-elle dit dans un soupir. Je n’allais bien sûr pas aller contre ses volontés, mais pour autant, je n’étais pas encore tout à fait calmé. Comme je la tenais toujours par les cheveux, je n’ai eu qu’à la tirer vers moi, jusqu’à la mettre à genoux à mes pieds. Nina a immédiatement su quoi faire et a ouvert la bouche en grand, me permettant de pénétrer sa gorge jusqu’à coller mes couilles contre son menton. Je lui ai baisé la bouche avec autant de ferveur que s’il s’était agi de son cul. Je la tenais par le cou, sans trop serrer, mais fermement. Dans cette position, elle ne pouvait plus bouger, et j’avais toute la liberté de m’occuper de son cas. Parfois, Nina toussait, et s’étouffait, ce qui m’obligeait à ressortir de sa bouche pour la laisser cracher le surplus de salive, puis je retournais en elle. Son maquillage coulait le long de ses joues, à chaque coup de rein, elle était sur le point de vomir. J’étais tenté de ralentir la cadence, mais c’est alors que j’ai vu qu’elle avait glissé une main entre ses cuisses et se masturbait en même temps. Alors je me suis laissé aller, et cette fois-ci, même quand elle s’est étouffée, je ne me suis pas retiré. Nina toussait et de la bave épaisse coulait de la commissure de ses lèvres et de ses narines, mais elle se masturbait toujours. Je me suis finalement retiré ...
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