1. La fontaine de Miss London


    Datte: 25/05/2019, Catégories: fh, fplusag, rousseurs, inconnu, anniversai, Collègues / Travail noculotte, ffontaine, Oral pénétratio, uro, québec, bourge,

    Jeune serveur de restaurant, fêtant le jour même mes dix-huit ans, j’ai été mandaté pour servir dans une soirée privée à la maison de mon patron, où Madame reçoit des invitées de marque. Pour ceux qui ne se souviennent pas de la beauté des vêtements de Miss London, en revoici la description : habillée selon les coutumes ancestrales de l’Angleterre, Miss London porte, tout candidement, une robe que la reine Élisabeth Première a dû mettre lors des grandes parades de son règne. Composée d’un bustier lui enserrant la poitrine, compressant ses seins comme si c’étaient des sardines en les poussant vers le haut et d’une jupe de grande ampleur, toute garnie de fils d’or et d’argent, crinoline et jupon inclus, cette robe est de toute beauté. Si ample qu’on ne voit pas les pieds de Miss London. Coiffée d’une petite couronne, elle fait vraiment reine avec son teint pâle et ses cheveux roux. Ceux et celles qui ont vu le film Élisabeth, l’âge d’or, peuvent l’imaginer ainsi vêtue et aussi belle que Kate Blanchett sait l’être. Alors que je terme le service du dernier Chateaubriand, ayant déjà flambé chacun d’eux devant ces dames plus enchantées du spectacle les unes que les autres, Miss London se lève et dit : — Excusez-moi Mesdames, mais je dois aller à la salle de bain. Un appel de la nature que je ne peux réprimer. Miss Laval me demande alors : — Alex, tu veux aller avec Miss London, elle ne pourra certainement pas défaire son corsage elle-même. J’ai soudainement l’impression que c’est ...
    ... un coup préparé d’avance, mais je ne vais surtout pas me plaindre car la Miss London en question est vraiment d’une grande beauté et surtout d’une classe à part dans ces vêtements qui lui vont à merveille. — Tout de suite, Miss London…— Mets son repas au chaud avant de monter, s’il te plaît.— Oui, Madame… Je m’exécute en me demandant pourquoi cette Miss London désire tant aller à l’étage pour satisfaire ses besoins alors qu’il y a une salle de bain tout près de nous. Je la retrouve au deuxième palier, elle attend que je délie son corsage, retenu en place par un cordon savamment lacé du milieu du dos jusqu’au bas des reins. J’entreprends alors mon nouveau boulot de déshabilleur de reine. Chose faite, Miss London prend une grande, voire énorme bouffée d’air, se remplissant ainsi les poumons d’air frais pour la première fois depuis son arrivée. — Ah ! Que ça fait du bien de pouvoir respirer un peu, de lancer miss London. Elles devaient souffrir en silence ces grandes dames avec la poitrine ainsi comprimée… Quel calvaire qu’est celui de porter un tel corsage, il te comprime les seins au point de ne plus pouvoir respirer.— Oui, j’imagine. Vous aviez l’air d’étouffer dans cette robe.— C’est que ça te compresse la poitrine au maximum et ils me font mal ces petits. Dos à moi, je l’imagine se dégager la poitrine afin de mieux respirer. Se retournant, elle me dit : — Regarde comme le tissu s’est incrusté dans la peau de mes seins, ils sont crevassés et me font terriblement mal… Viens ...
«1234...7»