Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?
Datte: 25/05/2019,
Catégories:
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... soutif. Sans doute pense-t-elle que cela ferait plus discret. D’ailleurs, en présence de sa mère, elle continue à être aussi timide qu’avant. Et elle m’ignore presque. Elle devrait faire gaffe à ne pas en faire trop : Cathy n’est pas non plus née de la dernière pluie. Nous jouons encore pendant une bonne heure, travaillant un nouveau morceau de Jess. Elle a du talent. Mais Cathy me subjugue. Elle joue parfaitement, tout en me dévorant des yeux. Du moins, c’est l’impression que j’ai. Je devrais changer la batterie de place pour ne plus avoir ce putain de contre-jour derrière elle. Mais sa jupe qui remonte tout au long de l’heure, sa petite culotte rouge et noire, je les vois bien. Dire que sa fille était au même endroit hier, quelques minutes avant me sentir en elle… À la fin de l’heure, Cathy me demande si elle peut bosser un peu sa batterie. Je la laisse donc dans la salle et sors avec Jess, que je raccompagne chez elle. — Aujourd’hui, rien, alors ? me dit-elle, déçue.— Les pulsions musicales de ta mère semblent vaincre nos modestes pulsions physiques !— On aura de nouveau l’occasion de… enfin… ?— On a tout l’été, ma belle. Sa main frôle la mienne et mes doigts se referment sur les siens. Arrivés devant sa maison, elle se colle contre moi : — J’ai envie de toi. Hier, c’était juste exactement ce que je voulais. Je ne réponds rien, la prends par les hanches et l’embrasse. Et je la laisse rentrer chez elle. Oui, on a tout l’été. Flatté par son compliment, je rentre chez moi. ...
... Derrière la batterie, Cathy a fait tomber le haut. Elle est en train de jouer, sa jupe bien remontée, ses seins magnifiquement mis en valeur par son soutien-gorge en dentelle rouge. C’est vraiment ce qu’on appelle une poitrine avantageuse. Quand elle s’arrête de jouer et m’aperçoit enfin, elle se croit obligée de s’excuser : — Il fait chaud, ici. Alors, comme j’étais seule…— T’inquiète, je m’en formaliserai pas !— Je vais le remettre, continue-t-elle en attrapant son tee-shirt.— Non, non, c’est bon, te gêne pas… Comment ne peut-elle pas comprendre ? Elle comprend parfaitement. Aucune mère de famille ne se baladerait à moitié nue dans la salle de musique du fils de ses nouveaux voisins à moins d’avoir sérieusement envie d’aller voir ailleurs que chez son mari. Je me pose sur le tapis et la regarde jouer. Bon, OK, je la regarde tout court. Ses seins qui sautent, cette petite culotte que je pourrais lui arracher. Évidemment qu’elle attend que je fasse quelque chose. Mais comment s’y prendre ? Et le temps que je réfléchisse, elle décide qu’il est temps pour elle de rentrer. Merde ! J’aurais dû aller me mettre derrière elle et lui prendre les seins fermement, plaquer mes lèvres contre les siennes. Je suis sûr qu’elle aurait suivi. Je dois passer pour un pauvre puceau qui n’ose pas y aller, maintenant. Elle se rhabille et sort de la pièce, l’air jovial, sans doute frustrée de ma timidité. Je la suis avec un air idiot, et je la raccompagne elle aussi. Ça m’occupe. Et surtout, j’essaie ...