Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?
Datte: 25/05/2019,
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... et j’ai peur de me reprendre une nouvelle baffe. — Des fois, tu me plais vraiment : t’es mature pour ton âge, tu discutes bien, t’es un bon musicien. Mais y’a d’autres fois, on voit vraiment que t’es un petit con de 20 ans qui ne sait pas s’y prendre avec les femmes.— Écoute, j’y vais peut-être pas avec le plus grand tact, mais tu m’aides pas non plus. Tu me chauffes tous les jours, et après, tu me parles de Jess ou de Lionel. Le truc, c’est que t’en as envie mais que ne tu l’assumes pas. Alors, me parle pas de manque de maturité. Finalement, nous remontons dans la voiture, silencieusement. Elle m’énerve, mais elle m’excite. En fait, elle ne sait pas plus que moi comment s’y prendre. Nous arrivons au village, et je me gare une nouvelle fois devant la mairie. Mais aucun de nous deux ne sort. — Quand je suis tombée enceinte de Jess, j’avais ton âge. J’étais amoureuse de Lionel, et j’ai gardé l’enfant. On s’est marié trois mois après sa naissance. Maintenant ça peut paraître irraisonné, mais à l’époque, c’était logique dans ma tête. Ça voulait dire la fin des aventures de passage, les flirts, ce genre de trucs. Alors évidemment, à Dijon, quand je bossais, je me faisais draguer ; j’avais la vingtaine, j’étais habillée sexy. Mais j’étais déjà mariée et mère de famille. Les gens le savaient, alors on a fini par me foutre la paix. Jusqu’à ce que je sois engagée comme batteuse dans un petit groupe du coin. Je t’ai dit que le guitariste voulait coucher avec moi. J’ai lutté pour ne ...
... pas céder.— Tu regrettes de ne pas avoir cédé ?— Non, car au moins je n’ai pas trompé Lionel. Mais, aussi oui, car je sais bien que je ne serai pas jeune éternellement.— Il y a de l’eau dans le gaz, avec ton mari ?— Comme souvent après plus de 15 ans de vie commune.— Et tu te demandes si tu n’as pas fait tous ces sacrifices pour rien ? Comme réponse, cette fois, je ne me prends pas une baffe, mais une bouche qui fonce sur la mienne, une langue qui se glisse entre mes lèvres, deux mains autour de ma tête ; bref, un gros baiser langoureux comme je n’osais plus en rêver. Je savoure cette langue interdite pendant quelques instants, puis Cathy se rappelle que tout le village peut nous observer : — On ne peut pas là tout de suite. Je ne sais pas quand…— Viens cet aprèm’, essayé-je de la convaincre. Mes parents sont pas là pendant deux jours, ils sont à Lyon chez des amis.— Si Jess veut venir chez toi, je peux pas lui dire de ne pas y aller pour me laisser la place ! Nous faisons finalement nos courses, toujours sans solution. Sur le chemin du retour, Cathy semble se détendre et recommence à être la joueuse qui m’excite tant. Elle remonte doucement sa jupe, et j’ai du mal à me concentrer sur la route et non pas sur ses belles cuisses qui se dénudent. Quand sa jupe est entièrement remontée, me révélant une simple petite culotte blanche, elle commence à faire glisser son index entre ses cuisses en me lançant des regards et des sourires plus qu’explicites. Une bonne érection s’empare de ...