Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ? - Histoires de Sexe

Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?

... en tout cas… — C’est vos parents qui ont voulu s’installer ici, je suppose ? me demande-t-elle.— Vous vous en doutez… réponds-je avec un sourire. Elle, en revanche, pas la moindre trace de sourire. Elle est bien foutue, mais ça n’a pas l’air d’être une comique. — Eh bien, bonne chance. C’est encore plus paumé que le maquis corse…— Et vous, ça fait longtemps que vous habitez là ?— On est venu s’installer ici après la naissance de mon fils Mickael. Ça fait dix ans cette année… Et je ne m’y suis jamais faite, ajoute-t-elle après un moment de silence.— Vous vous emmerdez un peu, quoi ?— Pour dire ça simplement, c’est un peu ça… C’est mon mari qui est tombé amoureux de cette région. Comme une conne, je l’ai suivi.— Vous viviez où avant ? demandé-je, craignant cependant d’être un peu trop curieux.— Dijon. C’est une ville de merde, mais il y avait au moins des choses à faire là-bas. Ici, Lons-le-Saunier est à plus de 60 bornes. Et c’est Lons-le-Saunier, donc. Si elle est autant en manque de sexe qu’elle s’emmerde depuis dix ans, je me dis que j’ai honnêtement toutes mes chances. Je ne vois pas qui d’autre ici pourrait me faire de la concurrence, et pourtant je ne suis pas non plus Brad Pitt. — Et vous, parisien depuis toujours ?— Complètement. J’y retourne en septembre pour mes études.— Vous avez bien de la chance… « Si tu veux que je te kidnappe et que je t’emmène dans mon appart, y’a pas de soucis ! » J’ai un peu de mal à regarder la route. Sa jupe glisse irrémédiablement ...

... vers le haut de sa cuisse, elle ne peut pas ne pas s’en rendre compte. Et ses seins… Bien ronds, peau lisse. Elle a un joli visage, de beaux yeux noisette, et des lèvres délicatement vernies de rouge. — Vous allez vous ennuyer quand même cet été, non ?— Oh, vous savez, avec Internet, des bons bouquins, une guitare… ça se passe. « Et une bonne petite voisine en prime… » — Vous pourriez toujours vous voir avec ma fille ; elle a à peine deux ans de moins que vous. Je rougis légèrement. Me proposer de voir sa fille alors qu’à l’instant présent, je fantasme sur la mère… Mouais, bof. — D’ailleurs, je peux peut-être te tutoyer : tu pourrais presque être mon fils, me dit-elle en me décochant son premier sourire. « Si tu peux être ma mère, alors je vais avoir un violent complexe d’Œdipe ! » — Étant donné que je tutoie ma mère, je peux peut-être te tutoyer aussi ? proposé-je, moi-même étonné par mon culot.— Pourquoi pas ? Ça me vieillit un peu que tu me dises « vous » depuis dix minutes ! Elle rit. Femme qui rit, à moitié dans ton lit… Nous finissons par arriver au village. Pas bien grand, mais on y retrouve déjà un zeste de civilisation. Nous en faisons le tour pendant cinq minutes mais nous ne trouvons pas de garagiste. Nous nous garons sur la place de la mairie et allons à l’épicerie. — Vous connaissez un garagiste dans le coin ? demande-t-elle à la grosse dame derrière son comptoir. Cette dernière nous répond qu’il faut encore bien faire 15 kilomètres. Elle nous donne le numéro du ...