1. Moi... tout simplement ! (3)


    Datte: 25/05/2019, Catégories: Erotique,

    Mes mots d’amour Les textes que tu m’envoies font un peu tous référence à ce fantasme qui te coure dans la tête, mais je trouve par trop impatient. Je crois que ton projet doit faire son chemin dans mon esprit. À toutes nos rencontres, tu regardes si je suis bien en jupe et tu me demandes si je n’ai bien pas de culotte. Plus tu m’emmènes vers des situations étranges, plus j’ai envie de continuer avec toi. Je ne veux plus penser à un monde sans toi et je veux te garder. Je me dis que je t’aime plus, que j’ai plus de sentiments que tu n’en as pour moi. Tu me réponds que tu m’aimes, que tu veux vivre avec moi, mais que tu as peur que je change d’attitude si nous sommes en couple. J’ai beau te dire que rien ne me fera changer, tu persistes dans ta peur. Tu veux que je me laisse aller, que je te suive les yeux fermés et que tu seras toujours à mes côtés pour poser ta main sur mon épaule au moment de jouir, pour m’assurer de ta présence. Je suis passée avec toi, grâce à toi en quelques années de la femme BCBG à la salope délurée. Tu me demandes aussi d’avaler le sperme d’un ou deux des hommes avec qui nous baisons. Je n’aime que le tien et je ne sais pas si je pourrai te donner satisfaction sur ce plan purement personnel. Je t’aime, alors donne-moi ton amour, je te veux juste pour moi. Dans la journée, chaque fois que je ferme les yeux ton image s’inscrit sous mes paupières closes. Je déteste le vide laissé par tes absences et je cours dès que tu m’appelles. Je viens, je vole vers ...
    ... toi parce que le vide de ton absence est le pire des maux, parce que je n’ai pas de mots pour le décrire. L’impression qu’il me manque un morceau de moi dès que tu t’éloignes, je veux te crier cet amour-là, mais l’entends-tu vraiment toujours ? Je pense que parfois tu fais la sourde oreille à mes suppliques. Je ne veux pas te perdre et je t’aime comme je n’ai jamais aimé un homme. Je t’aime à me laisser souiller, à aimer me faire prendre pour toi, à subir tes envies, à réclamer tes caresses, même si c’est par d’autres mains qu’elles me sont prodiguées. Tu voudrais ou tu veux selon l’humeur, selon l’humour, que je descende encore plus loin dans la perversion, tu aimerais que j’aguiche les hommes, que je les cherche moi-même, mais je préfère les subir, que ce soit toi finalement qui me les imposes, que tu me guides en quelque sorte sur cette voie que nous avons librement choisie tous les deux. C’est comme ces petits matins que tu m’offres parfois. Quand tu viens vers les cinq heures pour me rejoindre dans mon lit chaud, j’adore cela. Dans la nuit ou de temps à autre tu me téléphones, juste pour m’annoncer ton arrivée et pour m’annoncer laconiquement : — Je ne suis pas seul. J’aime quand, dans le noir total, un inconnu se glisse contre moi, que des mains viennent me caresser, quand je sens contre mes fesses, un sexe dur qui s’y frotte. Sur le côté, mon visage tourné vers l’opposé du visiteur, je laisse faire, j’attends les caresses qui vont courir sur ma peau. Je sais aussi que ...
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