1. Jeu de pouvoir


    Datte: 25/05/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine,

    ... bégayait. Naturellement, j’en ai joué à fond, entrouvrant la porte de la cabine, sollicitant l’avis du vendeur, lui demandant même de marquer un ourlet pour voir comment retombait le pantalon. Et là, je suis sûre qu’il a bien dû s’apercevoir que les chaussettes de mon chéri étaient bizarres pour un homme… Nous sommes rentrés depuis deux heures. J’étais tellement excitée par notre début d’après-midi qu’à peine la porte fermée, je l’ai fait se coucher sur le dos dans l’entrée, j’ai retiré ma culotte et je me suis assise sur lui pour qu’il me lèche le minou jusqu’à ce que j’éclate en à peine quelques dizaines de secondes. J’avais vraiment besoin de « me soulager » après toute cette tension accumulée. J’avais très envie de m’étendre sur le canapé pour me reposer un peu, j’étais épuisée. J’ai fermé les yeux et je pense que j’ai dû dormir une dizaine de minutes. Pendant ce temps-là, mon chéri est resté à me regarder, en tout cas, il était là lorsque je me suis réveillée. Je l’ai expédié faire quelques courses au marché, j’avais besoin de recouvrer mes esprits et de réfléchir à la suite. Le Jeu, c’est comme leBoléro de Ravel, il faut que ça monte, que ça monte, que ça monte jusqu’à l’apothéose finale où je jouirai comme une folle et où lui-même pourra enfin se laisser aller. Sans doute vais-je me faire masser pour finir de me détendre et de me préparer. Bien sûr, il va falloir que je lui applique la punition que j’ai décidée. Je vais sans doute ensuite l’immobiliser complètement ...
    ... et je vais jouer avec lui, notamment ses petits tétins sensibles. C’est époustouflant la sensibilité des dits tétins chez lui. Tout le monde a vu sur Internet ces machines à orgasmes symboliques avec sur la machine des hommes un seul bouton, alors que la nôtre en comporte de multiples, y compris des potentiomètres, des variateurs… Chez lui, depuis que je me suis occupé de ses tétons, et qu’il s’en occupe aussi d’ailleurs je le soupçonne, cette partie de son corps est devenue ultrasensible. Il me suffit de les effleurer, de les rouler sous mes doigts pour que la « petite bête d’en bas » se réveille et qu’il soit tout chose. Trois boutons au lieu d’un c’est plus rigolo. Je m’en sers donc comme déclencheurs. Mais je m’amuse aussi à exacerber leur sensibilité en leur faisant subir de petites tortures : pincements, mordillements, application d’une pince à linge qu’il doit supporter malgré ses gémissements, application de glaçons… C’est amusant, cela me fait un peu l’effet de jouer avec une autre femme ; c’est comme si j’étais un peu lesbienne dans ces moments-là. Je vais actionner les manettes pour le faire bander, mais pas plus, impuissant qu’il sera ainsi immobilisé. Je vais l’agacer et m’agacer en me frottant partout sur lui. Il faut toutefois que je fasse attention, une fois il est parti sans que je ne voie rien venir, j’en avais partout sur moi, c’était dégoûtant. C’est pourquoi, le minimum de précautions à prendre est de lui laisser une culotte. Et puis je vais l’abandonner ...
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