1. Photographe très amateur


    Datte: 25/08/2017, Catégories: h, fh, couple, copains, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral yeuxbandés,

    ... difficulté le membre conséquent de Sébastien. Je reculai rapidement, pour ne pas perdre une miette de la suite. Sébastien s’agenouilla sur un bout du canapé, tandis que Géraldine se couchait de l’autre côté. Elle gardait les cuisses complètement ouvertes dans une position parfaitement impudique. Sa chatte était déjà bien écartée, les lèvres rosées et luisantes de mouille. L’entrée du vagin, plus sombre, était même visible. Je fis autant de plans que possible avant que Sébastien s’approche, sexe en main. Là aussi, Géraldine avait fait du bon travail : on voyait bien la salive tout du long, qui avait même dégouliné jusqu’aux poils ! À tâtons, Sébastien guida le bout de son sexe contre celui de Géraldine. Elle bougea lentement son bassin jusqu’à ce que le contact soit parfait. Puis tous deux se mirent à frotter lentement, s’encourageant de la voix : — Alors ma belle, qui c’est qui va s’en prendre une bien au fond ? Qui c’est qui va se faire dilater la chatte ? Géraldine se mit à rire : — Mouillée comme je suis, souple comme je suis, chaude comme je suis, tu peux m’enfiler tout ce que tu veux mon chéri, tu ne me dilateras absolument pas, monsieur le gros macho ! Et Sébastien repris sur le même ton : — Ah oui, et s’il me prenait l’envie à moi de tout te mettre d’un coup, histoire de voir si j’arrive à te défoncer… Qu’est-ce que tu en dirais ? La réponse de Géraldine vint comme un cri et acheva de m’exciter à mort : — Je dirais : qu’est-ce que tu attends mon salaud, vas-y, ...
    ... défonce-moi la chatte ! Franchement, d’une manière ou d’une autre, ils auraient dû me prévenir que leurs ébats étaient aussi crus et excitants. Moi, je n’en pouvais plus dans mon caleçon ! J’avoue que j’ai un peu craqué. Remettant l’appareil sur pied, je cadrais parfaitement le canapé et réglai en automatique, une prise toute les 5 secondes. Avec ça, j’aurais de quoi trier mais, au moins, je ne raterais rien ! Un peu libéré, j’ouvris ma braguette et sortis ma bite toute dure. Je me mis à me branler frénétiquement en regardant ces deux-là, non plus à travers l’objectif mais bien directement, là à même pas deux mètres. Pas de risque qu’ils m’entendent, ils faisaient de plus en plus de bruit. Au début, c’est Sébastien qui n’arrêtait pas de gémir et de parler à Géraldine. Puis, en une minute, c’est elle qui passa du gémissent aux cris. Elle hurlait son plaisir de plus en plus fort, encourageant son homme : — Encore, c’est bon comme ça, continue. Je n’en pouvais plus. Attrapant à toute vitesse un kleenex, j’éjaculai dedans, longuement et délicieusement en regardant Sébastien pistonner de plus en plus fort la belle Géraldine. Je me remis à toute vitesse, juste à temps pour reprendre l’appareil et photographier au mieux leur jouissance qui commençait à poindre. Je me mis au bout du canapé, face au visage de Géraldine. Elle était à califourchon sur Sébastien et allait et venait frénétiquement en hurlant son bonheur. — Mon chéri, tu sens comme je me défonce bien sur ta queue ? Tu sens comme ...