1. Le voyage du CE, jour 2


    Datte: 26/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... dressait, se tendait ! Je tire le boxer jusque sous les couilles, en libérant d’un seul coup le sexe en entier et les deux boules. La queue bondit, elle est tellement droite qu’elle ne touche plus le ventre : il y a deux ou trois centimètres entre le haut de la queue et la forêt de poils. Les couilles sont magnifiques, je ne résiste pas à l’envie de les prendre en main. Rasées, rondes. Comme bien pleines. Olivier se redresse alors : - T’as pas trop chaud avec toutes ces fringues ? - Chaud, ce n’est pas le problème principal, c’est plutôt que je suis serré là ! Lui réponds-je en montrant mon entrejambe. Il avance le bras et prend ma queue à pleine main à travers le jean. - Ouh là, en effet… Pauvre Eric, c’est super serré là-dedans ! Allonge-toi sur le lit, je vais t’arranger ça. Olivier se redresse, finit d’enlever son jean et son boxer (pour lesquels j’avais arrêté le boulot aux genoux). Il se lève le long du lit, entièrement nu sauf la chemise ouverte sur son torse, la queue fièrement dressée vers le ciel et tapote sur le lit en disant : - Allez, à toi ! Je m’allonge et il se met à califourchon sur mes jambes. Un mec à poil, en érection, sur moi … Voilà une chose qu’avant-hier je n’imaginais même pas … Et encore moins que ça me fasse bander à ce point. Par contre, contrairement à ce qu’a dit Olivier, il ne libère pas du tout mon sexe (l’enfoiré !), mais il se contente de relever mon sweat. De passer ses mains partout sur mon ventre, mon torse, mes tétons. - Lève les bras, ...
    ... dit-il en prenant le bas de mon sweat. Pour passer mon sweat par-dessus ma tête, il s’avance et j’ai ses couilles et son sexe (toujours tendu) à quelques centimètres de mon visage. Mon sweat enlevé, il revient à cheval sur mes cuisses, du bout des doigts il excite mes tétons. Et assez vite, il remplace les doigts par la langue. Un téton, puis l’autre puis descend doucement dans l’espace entre les deux pour se rapprocher du nombril, en fait le tour et mouille bien mes poils jusqu’à l’extrême limite de la ceinture, même un peu en dessous. Je suis tétanisé ! Olivier se redresse et s’attaque à ma ceinture… l’attaque est rapidement menée. Il faut dire que l’attaqué (moi !) n’offre que peu de résistance… Et après ce sont les boutons (oui, pour moi aussi les boutons : il n’y a pas de raison que j’aie été le seul à en baver avec les boutons !). Bizarrement, les 4 boutons n’offrent eux aussi qu’une résistance symbolique et voilà les pans du jean écartés, laissant la place à mon boxer bleu. - Ah ben oui, dis donc : c’est de plus en plus serré. On va libérer ça … Dit-il en soulevant l’élastique. La moitié de ma queue sort de sa boite. Il la flatte en la prenant en main et en branlant doucement en s’adressant à elle : - Voilà, ma belle : un peu d’air ! Puis, s’adressant à moi : - Je vais te montrer comment on s’en sert. Il se penche vers mon ventre et met mon gland dans sa bouche. C’est divin. Il tourne sa langue autour puis, en écartant davantage l’élastique du boxer enfonce quasiment ...
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