Le dîner (suite et fin) - Histoires de Sexe

Le dîner (suite et fin)

... saches.— Mais oui, t’inquiète pas, je sais bien que c’est moi que tu aimes. En disant cela, elle plaque sa main contre son sexe et se met à serrer un peu. — C’est bien ça, mon salaud ? Tu ne te fous pas de ma gueule au moins ? Elle serre un peu plus, et ce qui était agréable devient légèrement douloureux. En la regardant droit dans les yeux, il lui répond enfin. — Mais si, mon ange. Il n’y a que ton cul qui m’intéresse ! Son sourire amusé la fait éclater d’un petit rire et elle relâche son étreinte. — Ouf, je préfère ça, en effet ! Mais méfie-toi, si c’est bien le cas, je te pète la gueule ! Il se penche vers elle et ils s’embrassent de nouveau tendrement. — Bon, c’est pas tout ça, mais moi j’étais quand même aussi venu pour faire pipi, si tu vois ce que je veux dire !— Mais oui, mon amour. Et je vais même t’aider. Sans attendre sa réponse, elle a ouvert sa braguette et se met à farfouiller dans son caleçon pour en extirper sa queue à moitié bandée. En la tenant de la main gauche, elle la dirige vers la cuvette. — Ben alors ? Tu n’y arrives pas ? Il la regarde, amusé. — Tu sais, j’ai toujours été seul dans cette circonstance, c’est assez inhabituel. En disant cela, il sent son sexe gonfler dans la main de Christèle. — Un jour, tu me pisseras dessus, hein ? J’en ai envie. Ces paroles, tout en le surprenant, l’excitent encore un peu plus. Il ignorait qu’elle avait ce genre de fantasme, mais l’idée lui plaisait beaucoup. Dans ses propres rêves, il y pensait souvent. — Je te le ...

... promets, mon ange. Mais en attendant, si tu continues à m’exciter, je ne suis pas prêt d’y arriver…— Tu veux quand même pas que je te chante une chanson, comme pour les petits garçons, non plus !— Tu me fais rire. Comme aurait pu le demander Shakespeare, faut-il bander en pissant ou pisser en bandant, voilà la question ! Ils se regardent et leurs yeux pétillent d’un mélange de bonheur, d’excitation et d’amusement. Ils se sentent tellement complices, quand ils sont ensemble. — Bon, allez, vas-y, on n’a pas cent sept ans non plus !— Oui, oui, je sais. Et sur ces dernières paroles, il commence enfin à se vider dans la cuvette. C’est une étrange (et toute nouvelle sensation) que d’uriner avec un sexe aux trois quarts gonflé et tenu par une autre personne… mais finalement c’est assez sensuel et intime. De toute manière, il se demande bien ce qu’il n’aimerait pas faire avec Christèle… Alors que son jet continu se poursuit, il jette un coup d’œil sur celle-ci qui semble complètement fascinée par le spectacle. Il remarque que son autre main a disparu sous sa jupe : elle doit être en train de se caresser ou de jouer avec les boules de geisha ! Quand il a enfin fini, elle se tourne vers lui et, tout en l’embrassant lui remet son engin dans le caleçon et remonte la fermeture éclair. — Tu le feras sur moi un jour mon amour, j’en ai terriblement envie !— Oui, moi aussi l’idée m’excite… beaucoup même ! Mais là, il faut qu’on y retourne. Et comme je suis un goujat, je sors le premier des ...