Justine à Paris (5)
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Trash,
... lui échapper et accentue sa pénétration d’un coup de reins qui le fait pénétrer plus avant. Je suis toujours pliée en deux, ce qui fait que je peux apercevoir quinze bons centimètres de mandrin turgescent encore à l’extérieur. Je réalise que je vais souffrir encore, quand il va me planter ça avec sa délicatesse habituelle. — Alors, tu es prête à te faire démolir le cul ? Tu peux pas parler, là... — Merci. Oui, vas-y, défonce tout... Ah ! Ah ! Doucement ! Bien sûr il ne m’écoute pas, au contraire il accélère ses ruades brutales, me secouant comme un prunier. Je sanglote tellement j’ai mal sous ses assauts furieux. Pourtant mes tétons pointent de manière indécente, témoins de mon émoi. D’ailleurs, quand Jonah arrête de me défoncer et retire de mes entrailles vaincues son formidable braquemart, je me laisse prendre à son jeu. — Reviens, tu ne peux pas me laisser comme ça. — Tu veux que je continue ? Demande-moi poliment. — S’il te plaît, Jonah. Encule-moi encore, finis de démolir mon cul... Mon Dieu, non... Ah ! Serviable, le colosse Black me sodomise de toute sa puissance, m’embrochant d’un coup si violent que ma tête va heurter le montant du lit. Son pelvis claque contre mes fesses alors que son rostre d’acier me pilonne à coups répétés, sur une cadence infernale. Il fait chaud dans la chambre, mon amant ruisselle de sueur, je me rends compte que moi aussi, j’ai la peau brillante et couverte de gouttelettes. Je m’accroche en plantant mes ongles dans les épaules musculeuses du ...
... géant et j’entoure sa taille de mes talons. La souffrance a reflué sans que je m’en rende compte et je geins de plaisir, arc-boutée et relâchée. Chaque coup de piston m’arrache un cri de gorge, mes yeux se ferment sur un orgasme puissant qui fait trembler tous mes muscles. Puis Jonah se vide, planté jusqu’aux couilles dans mon anus, les contractions furieuses de sa bite me projettent dans de nouvelles jouissances. Je grimace lorsque, quelques instants plus tard, il se retire de mes reins. J’ai chargé sévèrement, mes muscles sont froissés, endoloris. Je rêve d’une bonne douche et d’un peu de repos. Justement, le géant se lève et me lance : — Allez, à la douche ! Tu me laveras le dos pour te faire pardonner tes familiarités. — Bonne idée. Mais tu sais, j’aurais du mal à te vouvoyer avec ce qu’on a partagé. — C’est bien ce que je dis, incorrigible, l’entends-je bougonner. Je grimace en me levant : mes voies sont en feu, hyper douloureuses. De la semence s’écoule sur mes cuisses que je serre machinalement pour éviter de salir partout. Je suis donc Jonah dans une grande salle de bain carrelée en bleu roi et blanc. Grande baignoire que je guigne en m’imaginant rester dans l’eau chaude jusqu’à avoir la peau fripée, large douche dans un coin qui nous accueille tous deux. Je savonne avec grand plaisir le dos et les fesses musclées avant qu’il ne me rende la pareille. Quand il me lâche, je me retourne et peux apprécier son membre viril qui recommence à gonfler. Je ne puis résister et ...