Mon mari ne réfléchit jamais
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
initff,
... répond-elle tout en posant sa main sur la mienne.— À table ! Nous nous installons. C’est une petite table ronde. La conversation démarre sur le travail. Puis petit à petit, la finesse de mon mari l’amène à parler de la vie sentimentale de Josie. — Je suis seule, Laurent, et ça commence à faire un peu de temps. La solitude commence à peser !— Pourtant tu es particulièrement belle, tu attires facilement le regard. Voyant où la conversation mène, et comprenant que je n’ai rien dit à mon mari sur ses orientations sexuelles, elle répond sèchement : — Certains regards ne m’intéressent pas. Pardon, Isabelle, où sont les toilettes ?— Au fond du couloir. Elle se lève, passe devant les yeux de Laurent, qui est magnétisé par ses fesses bien moulées dans sa jupe. Son regard me gêne et je lui dis la vérité : — Laurent, Josie est lesbienne. Je sais, certains hommes ne savent jamais bien réagir à cette nouvelle. Lui, très mal, imagine de suite Josie en séducteur, et moi sa proie. À son retour, il lui dit directement : — Isabelle vient de me dire que tu préfères les femmes. Et la mienne, elle te plaît ? La réponse de Josie va me plaire. Sans réfléchir, instinctivement elle assume : — Oui, elle est super attirante.— Mais c’est ma femme, et tu n’y touches pas. C’est agréable, cette sensation de n’être qu’un objet… Josie répond : — As-tu peur qu’elle succombe ? N’es-tu pas sûr de toi ?— Isabelle est à moi et personne n’y touche.— Et toi qui matais mes fesses tout à l’heure, tu as la permission ...
... de voir ailleurs ? Elle marque un point. Décidément elle se défend mieux. L’attitude de Laurent me déplaît, il réagit en beauf. Il continue dans la même logique : — Casse-toi, je ne veux pas d’une gouine chez moi.— C’est toi qui m’as invitée.— C’est ta faute aussi, Isabelle, tu aurais pu me prévenir ! dit-il en tournant son regard vers moi. En voyant Josie se lever, et en même temps le regard de Laurent noir de reproches, j’ai envie de partir avec Josie. Après tout, c’est lui qui l’a invitée et lui qui se comporte mal. — Dis-moi Josie, il est tôt pour aller dormir, tu m’emmènes faire un tour ?— Bien sûr, cela permettra à Laurent de méditer un peu. Installées dans la voiture, elle démarre, et deux cent mètres plus loin je lui demande de s’arrêter. Le moteur arrêté, je me jette sur elle pour l’embrasser. — J’en avais envie, Josie. Le comportement de Laurent était si nul, et toi si belle. Je me surprends à poser ma main sur sa jambe et à me balader sous sa jupe. — On sera mieux chez moi, me propose-t-elle.— Oui, amène-moi chez toi. Fais vite. Je mouille… Et sans aucune pudeur, je prends sa main et lui fais sentir l’humidité régnante entre mes jambes. L’ascenseur de son immeuble est en panne. Elle me prend la main et me fait monter les marches de l’escalier trois par trois. J’arrive essoufflée chez elle. Mais pas le temps de respirer, elle vient se coller à moi pour m’enlacer et m’embrasser. Tout en m’embrassant elle défait ma jupe. Elle ne cesse de m’embrasser que pour me dire ...