1. Chevalier sans peur mais pas sans reproches : La Comtesse de Chaudefesses


    Datte: 26/05/2019, Catégories: A dormir debout,

    ... création ! ... On dira ce qu'on voudra, rien de tel qu'une comtesse (qui du reste baise comme une reine) pour vous faire dresser l'étendard ! La noble dame semblait déjà gironde habillée avec sa belle poitrine et son port altier mais une fois à poil, c'est un magnifique paysage vallonné qui s'offre aux yeux de Théobald : les courbes y sont parfaites et le terrain est aussi doux qu'accueillant. Le chevalier décide d'abord d'attaquer le poitrail en malaxant les seins puis tendrement il mitraille le cou de la belle par de nombreux baisers et léchouilles. Madame ferme les yeux et profite de l'instant, d'agréables frissons parcourent son corps tandis que Théobald lui mordille le lobe de l'oreille. Notre héros a une vie de guerrier, de ce fait il possède un corps puissant et bien proportionné, la dame apprécie, cela lui change de la silhouette bedonnante du Comte ! Elle tâte avec délectation le contours des muscles saillants, elle caresse le torse, cajole les biceps, triceps et quadriceps ! Théobald se redresse alors et expose fièrement ses attributs : l'aristocrate est comblée, ses yeux pétillent de désir devant le service trois pièces de son amant. Si les testicules de son mari lui faisaient penser à deux petites noisettes tombées au fond d'un misérable petit sac, les couilles du chevalier lui rappelaient celles d'un taureau : de dimension plus que respectables, elles semblaient à l'étroit dans leurs bourses tant la peau était tendue... Ceci augurait à n'en pas ...
    ... douter d'une sève de qualité et abondante. De ses mains avides elle soupesa les roustons puis remonta petit à petit vers l'objet principal de son désir. La verge est chaude, extrêmement dure et particulièrement imposante. Jamais de sa vie la Comtesse n'avait vue pareille chose ! Elle se fit la réflexion que Théobald possédait peut être du sang de géant ! Tandis que les mains de la Comtesse allaient et venaient le long du pieu, la noble minette désormais trempée était visitée par les doigts du chevalier. Le clitoris était tout dur et il n'était pas difficile de farfouiller dans la toison peu fournie afin de le débusquer. Les deux amants, tendus à l'extrême par le désir bestial laissèrent les préliminaires pour s'adonner à la copulation : le chevalier voulait saillir sa jument, la Comtesse voulait se faire couvrir par l'étalon... Comme un marteau-pilon le pénis allait et venait sans faiblir, le croupion de la dame frappait le pubis masculin faisant entrer en elle l'entièreté du gourdin. Les yeux de la noble se révulsaient, sa bouche laissait échapper des soupirs, des ahanements et de plus en plus souvent des petits feulements. Théobald heureux de la qualité de l'accouplement en voulu pourtant encore plus : il voulait faire crier de plaisir sa proie... Il accéléra le rythme et pilonna encore plus fort par contre se ne fut pas un cri qui s'offrit à ses oreilles mais un véritable hurlement qui vint souligner l'orgasme foudroyant que ressentis Madame de Chaudefesses !!! ... 
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