Sauvetage psy !
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
fh,
cadeau,
Collègues / Travail
complexe,
hotel,
BDSM / Fétichisme
initfh,
... elle me demande si je veux recommencer, et pour cela elle entreprend une caresse approfondie de mon pénis bien dégonflé ! Peine perdue, nous devons en rester là pour cette soirée fantastique. Le lendemain matin, après deux ou trois tendres caresses, nous décidons d’un commun d’en rester sur cette bonne sensation et, nous reprenons notre circuit-découverte. Mais, mon départ est programmé ! J’ai loué une camionnette pour faire le déménagement. Deux copains sont venus aider pour charger la camionnette de façon à être prêt pour partir le lendemain matin. Monique arrive aussi. La camionnette prise à dix-huit heures est chargée vers vingt-et-une heure. J’ai prévu un dîner rapide pour mes amis, Monique ne veut pas rester car elle est vraiment fatiguée. En partant, elle me précise juste : — À bientôt ! Vers minuit, les copains partis, je me trouve sous la douche, on sonne à ma porte ; je fais vite et Monique est là. Elle veut passer la nuit avec moi, mais je n’ai qu’un matelas pneumatique et des sacs de couchage. Pas de problème, elle a plein de courbatures, moi aussi. Nous nous dénudons et passons « au lit ». Effectivement elle semble avoir les muscles endoloris : je lui propose un massage. Je trouve l’huile de massage décontractante et fais un vrai massage pendant une heure. Elle est ravie, ...
... et, se laisse bien faire, surtout quand je masse des parties sensibles. Quand je décide d’arrêter le massage, elle écarte les jambes, m’enserre le cou, et, avec une force que je ne lui connaissais pas me plaque sur elle, en me disant, à ma surprise : — Les courbatures sont parties, baise-moi. C’est la première fois que j’entends ce vocabulaire dans sa bouche. Je la pénètre donc doucement et, quand je suis bien profondément en elle, elle me dit : — Presse-moi et laisse faire. C’est alors qu’elle se lance, en vrai gymnaste dans des mouvements impressionnants du bassin. Je maintiens la pression, mais dois la relâcher. Elle arrête de peur de me faire jouir immédiatement, puis reprend, et cela plusieurs fois. Elle veut vraiment profiter de mon sexe. Je ne peux tenir et explose en elle, elle me dit de rester le plus longtemps en elle et, m’enserre puissamment avec ses jambes. Je finis par m’endormir, et je suis surpris de la retrouver, au petit matin, en train de me serrer encore. Elle me précise que pendant mon sommeil, j’avais eu des érections, quelle m’avait provoquées et que cela avait été merveilleux pour elle. Je finis par me retirer, plus fatigué qu’avant de me coucher. Il faut que je parte faire les neuf heures de route. Je pars satisfait car je m’aperçois qu’elle va vraiment mieux.