1. J’INCITE MON ÉPOUSE A ME FAIRE COCU (2)


    Datte: 27/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Première fois

    ... battait la chamade.Nous avions tant rêvé de vivre une situation pareille. Tant fantasmé, tous les deux, elle d’un nouvel homme et moi, de la voir entre les bras d’un autre !Son regard toujours accroché au mien, un léger sourire narquois aux lèvres, elle astiquait avec un plaisir non dissimulé la belle tige vivante. Sa main habile malaxait, triturait, englobait avec adresse et sensualité la splendide queue. Ses doigts manucurés virevoltaient sur la longue tige, englobant par moment, l’énorme gland luisant du liquide pré-séminal.J’avais souvent imaginé ce genre de situation, j’étais comme hypnotisés, mes yeux ne quittaient pas la main experte de mon épouse.Serge geignait de plus en plus bruyamment. Il ondulait du bassin, alors, comme au ralenti, j’ai vu mon épouse se pencher vers le sexe durci et la bouche entrouverte, l’engloutir avec douceur !Gourmande et aimant les belles queues, ma femme s’efforçait d’engloutir l’énorme engin de Serge. Avec délices, visiblement, elle l’avalait du mieux qu’elle pouvait. Je le voyais entrer et sortir de sa bouche, de plus en plus gonflé.Je n’en pouvais plus, j’ai extrait ma queue et me suis mis à me masturber tout en regardant les deux amants se faire du bien.Ma chérie était courbée, à quatre pattes et comme sa jupe légère la recouvrait à nouveau, Serge d’un geste ample l’a remontée franchement découvrant son petit cul à peine couvert. Puis, pendant que ma garce de femme le pompait avidement, sa main a parcouru en tous sens son splendide ...
    ... derrière. Avec dextérité il a baissé son mini slip et ses doigts se sont immiscés le long de sa raie, la fouillant vicieusement.Les yeux clos, le souffle court, tout en appréciant la caresse buccale qui lui était prodiguée, il s’était davantage étendu pour la doigter plus aisément.Je ne savais plus où donner des yeux. Pendant un moment, je me suis senti hypnotisé par la grosse tige allant et venant dans la gorge affamée de Bernadette, puis je me suis déplacé pour mieux profiter du spectacle des doigts fureteurs qui fouillaient allégrement le minou luisant.Elle était comme une chienne dans l’attente d’être saillie. Je m’étais déplacé pour ne rien perdre du spectacle.Pensez, voir sa femme se faire baiser par un autre homme ! Depuis le temps que je rêvais de ça !Quand il l’a prise par les hanches, elle a largement écarté ses cuisses, offerte, la croupe cambrée, les lèvres de sa fente entrouvertes et gonflées étaient en position pour accueillir l’énorme pieu.Je n’en croyais pas mes yeux, quand le gland gorgé de sang s’est pointé contre les chairs toutes rose. J’ai crié malgré moi, quand, lentement il l’a pénétrée, comme si c’était en moi qu’il s’introduisait.Quelque chose d’irrémédiable s’était produit, un autre mâle que moi la baisait. Et elle semblait apprécier la garce ! Elle se donnait sans retenue aux coups de boutoirs de son amant.Le gros sexe allait et venait en rythme maintenant, je le voyais sortir et rentrer de plus en plus violemment, luisant de sa mouille abondante.Ma ...