Première visite dans un club - Histoires de Sexe

Première visite dans un club

C’est avec l’accord et l’oeil de Fred, mon mari, que je relate nos expériences extraconjugales durant nos trois premières années de mariage. J’ai d’abord relaté les faits dans mon journal (oui, comme une petite fille), mais Fred qui aime ma façon d’écrire m’a convaincu de les livrer aux lecteurs et lectrices du net. Notre fantasme le plus prononcé était sans doute le triolisme qui nous a mené par la suite au mélangisme. Mon mari et moi avons eu quelques relations occasionnelles d’échangismes/triolismes par le passé, principalement chez nous (et quelques expériences dans des clubs), jusqu’à ce jour de février 2005 où nous sommes tombés dans la luxure la plus totale. Mais commençons par le commencement. Les relations de triolisme, ça nous a pris dès la première année de vie commune, car on était tous les deux portés sur le sexe, et surtout car nous n’avons aucun tabou entre nous. La première fois, si je me souviens est lorsque nous parlions d’une amie commune qui vivait avec son copain tout en ayant toujours des contacts avec son ex, et moi d’ajouter: ’’ Elle a de la chance d’avoir deux hommes pour elle toute seule. Mon mari: — jalouse ?— un peu oui ’’ Et on est resté la, avant qu’il me propose de passer dans ce club échangiste pas très loin de chez nous, histoire de voir le triolisme de plus près. On y est allé le soir de nos 6 mois de mariage, après un bon repas, histoire de marquer le coup. C’était un samedi je me souviens. On paya le tarif couple et on se retrouva dans ...

... un vestibule sombre (un peu glauque à mon goût, mais bon c’est sans doute le style de ce genre d’endroit). On laissa nos manteaux au vestiaire, l’hôtesse nous indiqua qu’il était interdit de prendre des photos et d’utiliser son portable. Devant nous, dans le vestibule, il y avait 4 panneaux, avec les directions: les toilettes, le bar, la salle de rencontre (j’avais l’idée qu’on allait s’y retrouver bientôt) et la salle de gloryhole. Ne sachant pas ce qu’était un gloryhole, je demandais à mon mari. Il me conduisit au bar, commanda 2 martinis et m’expliqua que des hommes allaient s’y faire sucer par des femmes (ou des hommes) à travers une cloison, percée d’un trou à hauteur de braguette, sans savoir l’identité de leur suceuse. L’idée me sembla saugrenue mais m’émoustilla. Il m’interpella: ’’ Tu veux essayer ? — Non merci !!!— Ah bon ? Ça pourrait te plaire…— Non, ça va aller. Allons voir ce qu’on est venu voir— Très bien ’’ Et il me prit la main. Il semblait connaître cet endroit (mais lorsque je lui demandais, il nia. Je le crus, car il ne me ment jamais, mon petit mari). Nous nous sommes retrouvés dans la salle de rencontre (j’avais eu une bonne intuition), et là, sans complaisance, des couples baisaient devant mes yeux ébahis, sous la lumière tamisée. Une grande salle, avec beaucoup de colonnes, des canapés, des tables, et pas mal de recoins, qui ne devaient pas être là par hasard. Il y a avait aussi des couples et des hommes (seuls apparemment) qui étaient autour pour se ...