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Pris la main dans le bac (4)
Datte: 27/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... grosse érection, je me disais qu’il devait avoir un succès monstre auprès des femmes. En même temps vue ma tenue, je faisais parti des femmes aujourd’hui. Cela faisait maintenant quelques instants que Claude était en face de moi et il était déjà en train de m’embrasser le cou. Ne sachant trop comment réagir, ses baisers me faisaient frissonner de désir, je me laissais faire sous le regard amusé de mes deux maîtresses. Les 2 femmes nous ont emmené dans le séjour et m’ont rapidement invité à m’agenouiller devant leur hôte. Je me suis retrouvé nez à nez avec le haut de son pantalon et cette énorme bosse qui laissait deviner un sexe de très belle taille. Elles m’ont ensuite demandé de libérer l’appendice sexuel de leur invité mais je ne sais pas si c’était la timidité ou le manque d’assurance mais j’ai refusé. Par contre il y a eu un déclic quand Claude m’a parlé au féminin en me disant de libérer son sexe car je n’attendais que ça d’après lui. J’étais désormais sa belle, sa petite salope, sa douce chienne, sa soumise obéissante bref; j’étais à lui dans ses propos. J’ai donc pris l’initiative de dézipper son pantalon pour me donner accès à son sexe désireux mais surtout de grande taille. Il y avait un gros suspense mais le plus beau c’est que plus je m’approchais de son sexe, plus le mien prenait de belles dimensions. Le sien était dissimulé dans un boxer en lycra alors que le mien était toujours dissimulé dans une culotte de cette même matière. Compte tenu de la taille ...
... imposante de son sexe il a fallu que j’ouvre aussi sa ceinture pour laisser tomber son pantalon. Ça y est maintenant son sexe était juste dissimulé derrière son boxer et je pouvais en deviner la taille et le volume de façon bien plus précise. C’est Geneviève qui délicatement a baissé le boxer de Claude et je me suis ainsi retrouvé face à ce sexe qui sentait bon l’homme. Son dard était à quelques millimètres de mon visage à portée de langue et je mourais d’envie d’y goûter. Je n’ai eu besoin de personne pour suffisamment m’approcher et l’embrasser avec gourmandise, je peux l’avouer. J’ai pris confiance en moi et j’ai saisi son sexe d’une main pour le voir de plus près, j’avais l’impression d’assister à une leçon de choses. Je me suis mis à tirer sur sa peau pour libérer son prépuce; ce dernier était beau comme une fraise avec juste un petit peu de beurre à sa base. Je savais que ce beurre n’était pas une trace de saleté mais de désir et d’un besoin sexuel. Catherine m’a invité oralement à aller faire un bisou sur ce sexe qui n’attendait que ça, je me suis timidement exécuté en déposant un baiser puis deux. Une fois de plus c’est Geneviève qui a pris l’initiative principale en me poussant un peu la tête vers ce morceau de viande que je me suis retrouvé obligé de prendre en bouche. Pour la première fois de ma vie je me retrouvais avec un sexe masculin dans ma bouche cela me faisait tout drôle d’en avoir le goût et surtout l’odeur. Ma langue a commencé à prendre des initiatives en ...