1. Leçons d'Amours


    Datte: 27/05/2019, Catégories: Hardcore, Lesbienne Partouze / Groupe

    ... d’un vélo, comme nous, mis à disposition dans le gîte…Eve et moi, on échange nos idées le matin au petit déjeuner ou lorsque je reviens du Port, puis nous bâtissons notre journée, fonction du temps, avec une immuable promenade digestive pour ma part, entre le port et les sentiers côtiers…Bref, je ne retrouve pas cette semi-liberté hors de mes vacances. Mon métier m’astreint à des horaires, un planning de rendez-vous, fournisseurs, clients, administrations et gestion…J’aime alors m’accorder mes RTT, des heures de farniente, en dehors du magasin…Depuis quelques mois, je fantasme sur une personne, un peu plus jeune que moi, 35 ans environ, un physique différent de celui d’Eve, un intellect plus proche du mien, elle travaille dans une agence bancaire, la mienne…Nous avons eu des discussions à bâtons rompus lors de nos rendez-vous d’affaires, prêts matériel, prêts véhicules, et autres achats pour ma société, avec bilans et prévisions.L’affaire marche bien, et donc les rapports étaient assez agréables et glissaient vers la plaisanterie. Puis parfois vers des sujets plus personnels, enfants, conjoint, amour, le thème du bonheur conjugal…Je plaisantais en reluquant ses seins fermes, sa chevelure sombre, courte et son visage riant, ouvert, franc, avec une pointe d’ingéniosité qui perçait parfois avec certaines attitudes, comme provocantes…Je n’osais aller plus loin, j’avais trop besoin d’elle pour mettre en péril notre relation d’affaires… Elle m’accordait ce que je voulais sans trop ...
    ... ergoter, avec dans ses yeux, lors de la signature des contrats, ce petit brin de malice, témoin d’une confiance en moi…Puis elle partit vers d’autres fonctions, je perdis cette partenaire, la croisant quelquefois dans le couloir ou le hall de l’agence. Elle était devenue directrice, ne s’occupait plus des petits clients professionnels, de leurs soucis de prêts, de leurs impayés, etc…En ce printemps 2018, son visage revenait à mon esprit, je ressentais alors en moi un désir, un souffle… Elle me manquait… Son humour, sa grâce, ce feu que je sentais sous ses habits trop corrects pour être honnêtes…Je le lui dis un jour, elle avait ri de mon audace, l’avait souligné, d’un sourire….Je la croisais par hasard au marché, ce samedi d’avril…- Bonjour madame Baron…- Oh, monsieur Leroux…- Marc sera plus approprié hors de vos locaux… Mais il est vrai que vous avez d’autres charges…- Oui, moi c’est Karine, et je garde un bon souvenir de mes années de chargée de clientèle…- C’est gentil, merci pour nous, les petits…- Je pensais justement, il n’y a pas longtemps, à nos échanges verbaux, vous aviez l’art de me divertir, et rendre ma journée plus supportable, je n’en ai plus guère l’occasion… Je regardais votre compte, en riant à l’évocation de vos plaisanteries et constatant l’apurement de vos dettes… Vous étiez parfois coquin… Les hommes sont ainsi, libres dans leur tête, se fichent du protocole, même avec une femme…- Vous avez des soucis ?- Oh, ma vie est pleine d’inattendus, mais pas ceux ...
«1234...50»