Jasmine : princesse et salope (14)
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
Hétéro
... fista brutalement debout jusqu’à ce qu’enfin, elle le supplie d’arrêter. Il retira alors sa main d’un seul coup dans un bruit peu élégant. Epuisée, elle s’effondra au sol mais eu suffisamment de force et de lucidité pour lever la tête vers le Génie, ouvrir la bouche et sortir la langue pour recevoir l’abondante et délicieuse éjaculation. Voyant le visage enduit de foutre et de larme, le Génie tenta à nouveau de la raisonner : — Iris, je pourrais te baiser normalement et te donner tout le plaisir que tu veux !! Tu vas crever si tu continues sur cette voie… — Maître… c’est comme ça que je prends du plaisir… Depuis le jour où mon père m’a défoncé le cul comme un bourrin, je ne vis que pour la soumission et la douleur. Je ne suis qu’un objet… et j’adore ça ! — Soit… dis alors le Génie en secouant la tête, résigné. Il se saisit alors de son sexe ramollit et vida sa vessie sur Iris qui ne bougea pas d’un pouce pour éviter les jets de pisse qui l’atteignait au visage, dans les cheveux ou sur les seins. Ce fut même elle qui, sans ordre, se retourna et offrit son cul encore grand ouvert pour que le Génie le remplisse de pisse. Puis, sans un mot à l’égard de la femme qu’il venait de ravager, il lui cracha dessus, rangea son sexe et rentra chez lui où Jasmine l’attendant. Durant cette semaine, il se rendit également à l’APJ pour défoncer Salima ainsi qu’un nombre croissant de profs qui, toutes, voulaient gouter à ce mâle qui faisait hurler de plaisir les plus expérimentées d’entre ...
... elle. De son coté, Rose le boudait toujours malgré une envie de l’essayer également qui grandissait en elle. Elle tentait de calmer cette envie avec ses esclaves qu’elle sollicitait souvent pour des orgies qui, elle devait l’admettre, la satisfaisaient de moins en moins. Enfin, durant ces journées de labeur pour Jasmine, Le Génie fréquenta également le bordel qui avait rouvert ses portes. Ce qu’il y découvrit était à la hauteur de ses attentes. L’endroit était fraîchement peint et décoré aux couleurs de Jafar (rouge et noir) et des portraits ou des citations de lui ornaient les murs du bordel. On entrait dans une première pièce sans que l’on ne vous demande rien, pas même le mot de passe. De cette pièce, le Génie pouvait entendre les murmures, les gémissements, voire les cris des esclaves sexuelles, dispersées aux quatre coins du bordel, dans les pièces voisines. Par des rideaux transparents, il apercevait également des femmes nues en train de marcher, tenue en laisse par leur maître. Clairement, cette première salle était faite pour donner envie d’aller plus loin ou d’aller obtenir le mot de passe si l’on ne l’avait pas. Le Génie lui, l’avait. Il fût d’ailleurs rapidement accueillit par Lily, l’ancienne maquerelle du bordel aujourd’hui reconvertie en hôtesse d’accueil pour propriétaires d’esclaves. Lily lui demanda : — Esclave ou mot de passe ? — Mot de passe… mais bientôt esclave ! — Je vous écoute… — Yago. — Bienvenue au CEPA, monseigneur ! — Le CEPA ?? — Le Centre d’Echange ...