Si jeune et déjà chienne (1)
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Ce texte est la retranscription d’une histoire que j’ai lue il y a longtemps sur un site disparu. Toute ressemblance entre l’héroïne de mon texte et celle du texte cité est purement volontaire. Émilie est une jeune fille studieuse de 18 ans depuis quelques jours. Pendant les vacances de printemps de son année de terminale, elle a passé la matinée à réviser. En ce début d’après-midi, elle se donne un peu de plaisir seule dans sa chambre avant de voir à quoi elle va occuper le reste de la journée. Elle est mignonne mais très timide et cache ses belle formes sous des tenues trop larges et se coiffe de façon stricte pendant les jours d’école. En plus, elle porte des lunettes ne mettant pas son visage en valeur. Les garçons l’attirent bien, mais elle est trop timide pour les approcher, et ceux-ci ne s’intéressent pas à elle : "La première de la classe, bûcheuse et rébarbative" est la description la plus flatteuse de ces jeunes mâles en recherche de filles faciles. Elle n’est plus vierge dû à la pratique assidue de la gymnastique rythmique étant plus jeune, mais rien d’autre que ses doigts n’est jamais rentré dans son intimité. Cependant, elle prend soin d’elle et entretient sa toison bien taillée en un petit triangle indiquant la direction de la caverne au bonheur. Aujourd’hui, n’étant pas à l’école, elle porte une petite jupe légère à carreaux descendant à mi-cuisses sur un slip brésilien en dentelle blanc et un chemisier sans rien dessous, son 85 B se passe bien de soutien quand ...
... elle est à la maison. Elle est là sur son lit, la jupe et le chemisier relevés, le slip écarté, à se donner du plaisir en pensant à quelques beaux garçons du lycée quand sa mère l’appelle pour sortir le chien. Émilie, frustrée de son plaisir, se réajuste rapidement et va chercher le chien au garage. Le chien, un golden retriever de 3 ans, très joueur, bien dressé et obéissant, répondant au nom de Rufus. Après avoir attaché la laisse du chien, Émilie se dirige vers les bois derrière la maison pour la promenade. Bien qu’obéissant, elle ne le laisse pas libre car les lapins, grouillants dans les bois en question, attirent toujours Rufus qui se prend à les courser dès qu’il peut. Elle est déjà assez loin et ne voit plus les maisons quand un lapin passe juste sous les pieds d’Émilie. Rufus ne manque pas de vouloir lui sauter dessus et renverse sa maîtresse qui se coince un pied dans une racine et se tord la cheville en lâchant la laisse. Émilie crie de douleur et Rufus, qui avait commencé à suivre le lapin, vient voir ce qui arrive à sa maîtresse. Elle tente de se relever mais la douleur est trop forte et elle retombe sur ses genoux en lâchant un nouveau cri. Elle serre les dents et les larmes commencent à couler le long de ses joues. Rufus derrière sa maîtresse commence à s’approcher, sentant quelque chose. Il pose sa truffe sur les fesses de la jeune fille et semble très attiré par l’odeur qu’il y sent. Malgré la douleur, Émilie se rend compte que Rufus est derrière elle et que ...